HISTOIRE DE MATAF

C'est sur le quai d'un port breton. Un crabe chef (cassé trois fois), la trogne rubiconde, marche son sac sur l'épaule

Il s'arrête devant le bar du "Joyeux goéland". Sur l'ardoise placée sur le mur il lit :

Café tenu par Marie-Jannick

Café : 0.50
Sandwich maison : 1.00
Moules marinières maison : 1.50
Branlette maison : 3.50

Il décide d'entrer, pousse la porte, pose son sac et va vers le comptoir où un grosse blonde à la poitrine généreuse est en train d'astiquer...le comptoir.

- Alors beau marin qu'est que ce sera pour toi ?
- Heu...l'écriteau dehors parle de branlette maison
- Oui mon loulou c'est moi qui m'occuperai de toi
- Bon, va te laver les mains, et fait moi un sandwich maison avec un coup de gwinn ru !!!

notes :
Crabe chef : quartier maître chef
Gwinn ru : vin rouge en breton

Vers la fin de la messe du dimanche, le prêtre demande :
- Combien d'entre vous ont pardonné à leurs ennemis ?
80 % des gens lèvent la main.
Le curé répète sa question.
Tous lèvent la main cette fois-ci, sauf un vieillard.
Passionné de balades à moto, il assiste à la messe seulement quand la météo est mauvaise.
- Monsieur BEDARD, puisqu'il ne fait pas assez beau pour faire de la moto, je vous souhaite la bienvenue dans notre église.
- Vous ne voulez pas pardonner à vos ennemis ?
- Je n'ai aucun ennemi, répond-il tranquillement.
- Monsieur BEDARD, ceci est très inhabituel. Quel âge avez-vous ?
- 98 ans.
Toute la foule se lève et l'applaudit.
- Monsieur BEDARD, pourriez-vous, s'il vous plaît, venir devant l'autel, et nous dire comment une personne peut vivre 98 ans et n'avoir aucun ennemi ?
Le vieux Biker marche le long de l'allée et vient dire tout simplement au micro :
- Ils sont tous morts, ces fils de putes !

[quote="Rudy Laures"]

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Rudy !

Ca pourait être l'histoire d'un Vieux PARA.....

La Mère Supérieure

C'est une religieuse qui rentre dans un magasin d'alimentation.Elle achète une énorme bouteille de porto et dit à la caissière:

- J'achète cette bouteille pour soigner la constipation de la Mère Supérieure.

Une heure plus tard, alors qu'elle vient de sortir du magasin, elle croise la religieuse dans la rue, assise sur un banc, avec la bouteille vide à côté d'elle. La religieuse a l'air aussi bourrée que le métro aux heures de pointe.

- Mais enfin ma Sœur! Vous m'aviez dit que cette bouteille était pour soigner la constipation de la mère supérieure !

- Mais c'est la vérité ! Vous verrez, ça va vraiment la faire chier de me voir dans cet état !