Ces journalistes complices du mensonge…

source : Boulevard Voltaire
Lobby gay : ces journalistes complices du mensonge…


Le 16 juin 2013

Christian

Vanneste

Homme politique.
Ancien député UMP et Président du Rassemblement pour la France.
La sortie du petit livre que j’ai écrit pour les éditions Mordicus a dû agacer… M… au lobby gay !, son titre, et la revendication de la liberté d’expression, c’en est trop pour ceux qui ont récemment écrasé toute opposition pour imposer la loi la plus contraire à une conception raisonnable de l’humanité. La meute journalistique qui s’est une fois de plus lancée à ma poursuite fait honte à la profession. Comment des journalistes, qui devraient avant tout défendre la liberté d’expression, la qualité de l’information et la recherche de la vérité peuvent-ils devenir les complices de l’Inquisition, les spécialistes de la désinformation et les propagateurs du mensonge ?
Il y a quelques jours, avec un bel ensemble, des médias ont annoncé que je serais jugé l’année prochaine, pour mon « dérapage » : faute de pouvoir me poursuivre pour avoir nié une déportation qui n’a pas existé, on m’accuse d’avoir blasphémé en osant parler de narcissisme. Quel crime !
J’observe d’abord que les articles publiés par certains omettent soigneusement de rappeler la confirmation de mes propos par Serge Klarsfeld et de préciser que les sept déportés de France ont été arrêtés pour d’autres raisons plus précises que leur homosexualité. Aucune politique de déportation des homosexuels n’a été mise en œuvre ni par Vichy ni par l’occupant en France. Quelques citations du très objectif rapport de Mickaël Bertrand sont ici utiles : « Aucun déporté arrêté en France occupée n’a jamais porté le triangle rose. » Ou encore, sur les raisons de la propagation du mensonge sur la déportation : « Les enjeux dépassent la pure recherche de vérité historique au profit de revendications militantes. » Et pour conclure : « Toute comparaison avec la Shoah apparaît… obscène et sans fondement. »
Si les « journalistes » avaient pris la peine de lire le petit livre que j’ai écrit, ils auraient pu éviter de répéter leurs erreurs, hélas volontaires, de l’année dernière. L’absence de poursuites liées à mes propos sur la déportation n’a rien à voir avec Nüremberg, comme ils essaient de le faire croire assez fielleusement, mais tient tout simplement au fait que je dis la vérité. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je n’ai pas été exclu de l’UMP, puisque, statutairement, il était impossible d’exclure un membre d’une fidélité irréprochable pour avoir dit… la vérité. Ils m’ont retiré l’investiture, sans le moindre entretien, ce qui est assez conforme à la lâcheté et à la tricherie habituelles à l’UMP.
Les mensonges grossiers contenus dans des articles assez courts révèlent à l’évidence la conception que des journalistes ont de leur métier. Au lieu d’en faire un pilier de la démocratie, ils en font un auxiliaire de la répression, un outil de censure.
J’ajouterai en outre que l’importance donnée à cette « information » doit être comparée au silence entourant les poursuites judiciaires que j’ai moi-même engagées. Certains ayant osé employer le mot « négationniste » à mon égard ont été poursuivis. C’est la raison pour laquelle j’ai porté plainte contre madame Joly et également contre L’Express. Fort curieusement, le dossier concernant l’hebdomadaire a disparu opportunément du tribunal le temps… que l’action soit prescrite. Je me vois donc contraint de déposer une nouvelle plainte, contre l’État cette fois, pour faute lourde. Le moins que l’on puisse dire dans ces affaires, c’est que ni le troisième pouvoir (l’autorité judiciaire), ni le quatrième (la presse) ne semblent avoir un fonctionnement digne d’une démocratie, respectueuse de la liberté d’expression des citoyens et de l’égalité des justiciables. Le « c.n » du mur que je suis ne peut qu’en faire l’amer constat.
J’ai parfois laissé planer un doute sur le « M… » du titre de mon « coup de colère ». Cette fois, c’est clairement « Merci ». Merci une fois encore à ces journalistes pour leur mauvaise foi militante, merci de trahir avec autant d’aplomb l’idéal de leur profession, merci de traquer la liberté de penser avec un tel acharnement, merci de mentir de manière aussi systématique… et surtout, merci de prouver l’existence du lobby et sa puissance. Certains s’étonnent des doutes qui s’expriment ici et là sur la « démocratie » française. Vous confirmez ces doutes.


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Les médias nous disent leur point de vue, leur avis, leur analyse... mais ils nous manipulent parfois, comme un expert, un historien ou un spécialiste est contredit par un autre...  l'information est parfois une désinformation...

Misérables désinformateurs!

Oui mais depuis mai 2012 CE N'EST QUE DE LA DESINFORMATION ,la presque totalité des JOURNALEUX à la solde d'un gouvernement qui leur a permit de ne déclarer qu'une petite partie de leurs revenus plus que "confortables" ,chose que Sarkozy leur avait REFUSE .
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Para un jour,Para toujours