PARTEZ MONSIEUR LE PRESIDENT

La FRANCE est malade, les Français n'en peuvent plus, vous et votre gouvernement vous nous menez vers l'abime, l'inconnue. De nombreux de nos concitoyens s'expatrient devant vos décisions contradictoires qui surviennent de jour en jour de la part de vous même et de vos ministres. Notre cher pays a besoin à sa tête d'un homme énergique et dynamique avec une équipe d'hommes et de femmes compétents ayant la volonté de donner au peuple français le gout d'entreprendre et de la réussite. Ce qui se passe aujourd'hui c'est le contraire , c'est catastrophique, la BRETAGNE se révolte comme en 1907 les vignerons du MIDI, les usines, les entreprises licencient, ferment, le chômage augmente, ou en sont vos promesses de votre campagne. Vous avez été élu par des millions de Français qui aujourd'hui sont profondément déçu de votre politique.

La période actuelle me fait revenir 59 ans en arrière, novembre 54, appelé sous les drapeaux pour 18 mois et qui en ait fait 32, un certain ministre de l'intérieur socialiste devenu président de la République, déclara l'ALGERIE C'EST LA FRANCE, belle promesse. Huit ans après 30000 militaires furent tués, plus de 150000 Harkis assassinés, un millions cinq cents mille Pieds Noirs durent abandonner cette terre à laquelle ils étaient tant attachés, que Madame JOLY les assimilent à des ROMS, que devient notre FRANCE avec de tels propos.

Un grand chef militaire que fut le général Marcel BIGEARD, auquel vous avez refusé que ses cendres reposent aux INVALIDES, qu'aucuns membres de votre gouvernement n'assistèrent à ses obsèques écrivit cette très belle phrase "ADIEU MA FRANCE TU N'ES PLUS CELLE QUE J'AI CONNUE, LE PAYS DU RESPECT DES VALEURS, DE L'HYMNE ET DU DRAPEAU DE LA FIERTE D'ETRE FRANCAIS".
Oui Monsieur le PRESIDENT, dans l'état dans laquelle vous contribuer à mettre notre pays, afin d'éviter une tragédie entre tous les Français ayez le courage de démissionner c'est le plus grand service que vous pourriez rendre à la FRANCE.

Les bonnets rouges Bretons donnent l'exemple...