L'arroseur arrosé. Les journalistes Paul Comiti et Olivier Aziparte, puis Camille Courcy. Aujourd'hui les clandestins les traînent en justice

Des journalistes français paient le voyages de clandestins depuis la Lybie jusqu'en France afin de réaliser leur reportage.
Les journalistes Paul Comiti et Olivier Aziparte, puis Camille Courcy n'ont pas hésité à franchir la ligne jaune comme Ghesquière et Taponnier.
Ils ont fait, aux clandestins des promesses qu'ils ne pouvaient tenir. Résultats, aujourd'hui les clandestins les traînent en justice.
Mais tout ceci n'était pas dit dans le reportage de Zone interdite de Dimanche 17 novembre.
( Lire l'article sur Télérama.fr)

merci Claude Larue, voilà l'article:

"La critique TV de télérama du 23/11/2013


Impossible de juger ce numéro de Zone interdite consacré à l'immigration clandestine tant les conditions de sa réalisation font l'objet d'interrogations. Le documentaire présenté ce soir, produit par Tony Comiti, fait l'objet d'une plainte pénale constituée par trois des migrants filmés. Malgré cette plainte, M6 a maintenu la diffusion de ce « pur Zone Interdite », comme l'indiquait en projection de presse Vincent Régnier, le directeur des magazines d'info de la chaîne.

Le film suit dix mois durant le périple haletant de deux groupes de clandestins en route pour l'« eldorado » français. L'un constitué d'Afghans, au départ de Kaboul, l'autre de Camerounais rencontrés en Libye. Ces deux histoires croisées, tournées dans des conditions périlleuses, veulent montrer les migrants sous un jour inédit, prenant le temps du portrait et détaillant les étapes de ces parcours inhumains. Et surtout, le « scoop » que représentent les images tournées début juillet en caméra cachée. Les journalistes Olivier Azpitarte et Camille Courcy ont embarqué sur un navire plein à craquer, reliant Zouara, en Libye, à l'île italienne de Lampedusa. Le même type d'embarcation de fortune sur laquelle plus de trois cents boat people ont trouvé la mort en octobre dernier.

C'est ce volet africain du reportage de Zone interdite qui est aujourd'hui au coeur d'une lourde polémique : les trois Camerounais, approchés en décembre 2012 dans le Sud libyen par Paul Comiti et Olivier Azpitarte, accusent les deux reporters et Tony Comiti Productions de les avoir manipulés en leur promettant de s'occuper d'eux à leur arrivée à Paris et d'avoir financé la quasi-totalité de leur voyage. La production reconnaît seulement le paiement des transports de l'Italie à Paris. Un choix que Tony Comiti dit « assumer entièrement ». Alors jusqu'où la production est-elle intervenue dans le parcours ? — Marie-Hélène Soenen

Marie-Hélène Soenen"

Merci Claude Larue
C'est vraiment de m...de ces journaleux

Le malheur est qu'avec leurs reportages foireux, ils font un mal considérable et qu'ils abusent de très nombreuses personnes de bonne foi mais qui ne creusent pas les infos.

Claude Larue a écrit:

Le malheur est qu'avec leurs reportages foireux, ils font un mal considérable et qu'ils abusent de très nombreuses personnes de bonne foi mais qui ne creusent pas les infos.

Sans autre commentaire Claude à tout dit!

Bravo!

Bravo!Bravo!

18 mois d'enquête et un montage très orienté pour mieux manipuler les médias...

Il serait bon que le délit d'aide au séjour irrégulier soit appliqué à ces journalistes, si cela est exact. Mais semble-t-il, il y a des intouchables (même des politiques qui prônent où ont prôné la désobéissance à la Loi) Vive la république !

Annulé