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| HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE | |
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claude millet Fondateur
| Sujet: HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE Dim 2 Nov 2014 - 19:24 | |
| source: culture et religion christian chanliau.overblog.com
HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE Publié le 29 Octobre 2012 HISTORIQUE DE L’AUMÔNERIE MILITAIRE EN FRANCE I/DES ORIGINES A 1952 En 313, l’empereur Constantin adopte officiellement le christianisme et met fin aux persécutions. On met alors en valeur le culte de militaires romains, morts martyrs pour avoir refusé d’adopter le culte Impérial, par fidélité à la foi nouvelle. Ces personnages sont restés célèbres, car ils sont souvent devenus et restés des « patrons d’armes ». Nous avons ainsi à Rome, saint Sébastien, patron des archers et saint Romain. En Suisse, saint Maurice, et la légion thébaine (qui refusa tout entière d’adorer l’empereur et fut décimée). En Syrie, saint Théodore; en Palestine, saint Georges; à Marseille, saint Victor, etc. Tous militaires romains, mais souvent d’origine orientale. Sous Constantin également, se met en place un rituel. Nous savons par l’historien Eusèbe, qu’avant et après la bataille, des prières étaient dites par des prêtres, s’adressant à Dieu: « De toi nous avons reçu nos victoires, Par toi nous avons vaincu les plus puissants ennemis. » L’édit de Carloman, frère de Pépin le Bref, en 743, interdit à tous clercs de porter armure, de combattre, de se rendre à l’ost (l’armée). Il met à part ceux qui, pour les besoins du service divin (messe et port des reliques), auront été choisis pour cela. (1) Apparaît ainsi l’existence de chapelains prêtres qui, sous la direction d’évêques, forment la première aumônerie militaire. Sous Charles le Chauve, des précisions sont données. Ce sont certains prêtres ou évêques spécialement choisis qui accompagnent l’armée. Leur rôle est de bénir les troupes, de les exhorter et de confesser les mourants. ils ne doivent pas porter d’armes. Pendant la bataille, ils prient pour ceux qui vont mourir et disent la messe. Tout ceci nous est connu par un texte, venant des pays de Loire et intitulé « Le faux capitulaire de Charles le Chauve », oeuvre d’un évêque en réalité. Sous Clotaire, saint Sulpice était titré « Abbas in castris », c’est-à-dire chapelain du camp militaire. La Chevalerie va codifier le rôle de la noblesse et lui conférer un caractère sacré. Elle aura besoin pour cela de chapelains et d’aumôniers qui accompagnent les chevaliers et les barons. Mais ils chevauchent des mules et sont vêtus de bure. L’Église essaye, également, par l’institution de la trêve de Dieu, de canaliser les abus des guerres, des pillages et des destructions. Elle Institue également le droit d’asile. En revanche, les croisades sont prêchées par des clercs, comme le pape Urbain V; emmenées par des clercs, comme la première d’entre elles, par le moine Pierre L’Hermite. Les croisades vont surtout favoriser un phénomène nouveau : la création d’ordres religieux militaires: les Templiers, en 1118; les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, en 1120 (cet ordre subsiste, sous le nom d’ordre de Malte) ; les Chevaliers Teutoniques contre les slaves païens, en 1128; etc. Dans ces ordres, les chevaliers étaient des religieux profès et combattaient, mais ils étaient de simples frères. Leurs aumôniers étaient prêtres et ne combattaient pas. A la cour des Capétiens, on découvre l’existence d’un chapelain royal. C’était l’aumônier personnel du roi. Il était assisté d’un second, puis de tout un collège de clercs exemptés de l’autorité épiscopale locale. Les pouvoirs du chapelain royal s’étendent petit à petit à la maison du roi et à son armée. Il deviendra plus tard le grand aumônier de France, jouissant de privilèges particuliers et d’exemptions. A partir de la fin du XVIém siècle, avec les guerres d’Italie, on constate la présence d’aumôniers militaires permanents. François 1er crée officiellement des aumôniers de marins, tandis que Henri II par une ordonnance de 1555 prescrit que « chaque bande et régiment aient un prêtre et qu’il y ait un prédicateur à la bataille et un autre à l’avant-garde ». Le grand aumônier de France prend alors le titre d’évêque des Armées, il est assisté d’un premier aumônier, de huit aumôniers ordinaires et de simples chapelains. Des aumôniers sont désignés pour les régiments de Navarre, de Champagne, de Picardie, de Piémont. On assiste à une prise de conscience de la spécificité du milieu militaire, milieu nécessaire à la nation et dont la tâche est difficile. Les différents aumôniers essayent cependant de relever le niveau des mœurs des soldats. Les jésuites, ordre nouveau, usent pour cela de l’influence qu’ils possèdent sur les nobles, propriétaires des régiments. Jusqu’au règne de Louis XIV, l’aumônerie militaire ne possédait pas de « lieux ». Avec Vauban, chaque citadelle aura sa chapelle; certaines sont toujours consacrées, comme la chapelle de la citadelle de Lille. Le plus bel exemple est l’église de l’Hôtel des Invalides, dédiée à saint Louis, qui est devenue en 1986 la cathédrale du nouveau Diocèse aux Armées Françaises. Quand on construira l’Ecole militaire en 1752, on aménagera une chapelle fort élégante et toujours utilisée. La Révolution amène un bouleversement complet dans les rapports de l’Église et de l’Etat. Officiellement, les aumôniers militaires disparaissent. La constitution civile du clergé ne supprime pas les aumôniers, du moins au début, mais elle exige le serment des aumôniers militaires. Sous l’Empire, Napoléon 1er rétablit la charge de Grand Aumônier, au bénéfice de son oncle le cardinal Fesch, Primat des Gaules. On trouve les aumôniers militaires dans les écoles, les ports de guerre, les prisons militaires. Il y a également un aumônier aux Invalides. Le nombre global est difficile à estimer mais à la Restauration, on trouve des aumôniers en « demi-solde », classés avec les officiers de santé, et qui touchent une allocation de 900 F. par an, c’est-à-dire la solde de capitaine. La Restauration rétablit l’aumônerie militaire, en nommant un aumônier par Corps, avec rang et traitement de capitaine, et retraite après vingt ans de service, ce qui ressemble assez au statut des aumôniers actuels. Les aumôniers doivent alors veiller particulièrement à la sauvegarde des objets de culte, aux bibliothèques des régiments et à la surveillance des écoles d’enfants de troupe. L’aumônerie de la Marine est réorganisée en 1823, avec le rétablissement de l’École Navale. On dénombre à peu près 112 aumôniers en poste à la Restauration, avec une solde qui les assimile aux capitaines de deuxième classe. Sous Louis-philippe, la Grande Aumônerie, très légitimiste, disparaît ainsi que pratiquement les aumôniers de Corps. Il en subsiste surtout dans les garnisons, les hôpitaux et prisons militaires. Par contre, avec la conquête de l’Algérie, on voit des aumôniers sur le terrain, participant à la pacification et suivant les troupes au combat. Ils sont à la nouvelle origine de l’Eglise en Afrique du Nord des siècles après St Augustin et précèdent l’œuvre du cardinal Lavigerie. Mais l’Islam restera opposé au christianisme, y compris jusque par la violence. C’est encore le cas aujourd’hui. Napoléon III n’était ni hostile, ni favorable à l’aumônerie militaire. Durant la campagne de Crimée, des aumôniers, surtout des jésuites, suivent les troupes et meurent comme elles du typhus et du choléra. On rétablit la Grande Aumônerie, pour faire comme sous Napoléon 1er, mais l’Eglise en monde militaire prend de plus en plus une allure officielle. Les aumôniers sont nombreux à cette époque, mais sans grade ni rang: 300 aumôniers catholiques environ et, chose nouvelle, des aumôniers protestants. C’est aussi l’époque des « œuvres ». Les foyers du soldat, les confréries de Notre-Dame des Armées, les légions de prière se multiplient; soutenus, il faut bien le dire, par la tendance la plus légitimiste du monde militaire; les officiers sont souvent issus de la noblesse et attendent l’avènement du comte de Chambord. Sous la Troisième République, après de multiples débats à la Chambre, la gauche majoritaire envoie, le 15 juillet 1889, les clercs faire leur service militaire. Ce sera les « curés sac au dos ». Après l’affaire Dreyfus, la loi de finance de 1905 interrompt le recrutement des aumôniers militaires, mais sans revenir en fait sur le principe même de l’aumônerie, puisqu’elle garantit le libre exercice du culte dans les établissements publics aux frais de l’Etat. Dans la pratique, des aumôniers subsisteront jusqu’au conflit de 1914-1918 qui verra évoluer considérablement la situation des aumôniers militaires. De nombreux prêtres, pasteurs et rabbins sont appelés. Certains s’engageront pour la durée du conflit. Un nouveau type d’aumônier va naître, dont la figure Idéale pourrait être celle du Bienheureux Daniel Brottier, partageant la vie des hommes, accomplissant son ministère religieux dans l’assistance aux blessés, aux mourants, mais prêchant surtout d’exemple par le partage des difficultés et des angoisses de la vie des tranchées. Ce nouveau type d’aumônier marquera profondément non seulement l’Église de France, mais la nation tout entière, toutes opinions et convictions confondues. On peut dire sans exagérer que, grâce à la présence de ces prêtres, pasteurs ou rabbins, le malentendu entre les Eglises — et surtout l’Eglise catholique — et la nation, va se dissiper. Le Diocèse aux Armées actuel vit sur cette lancée. Sous saint Louis (XIII siècle) apparaissent les premiers signes de la présence de prêtres à bord de vaisseaux. François 1er en 1539, Institue la Grande Aumônerie de France. Mais on ne trouve point de trace d’aumôniers embarqués. Il faut attendre l’année 1619 pour que le roi nomme « un aumônier général des galères, avec les honneurs et droits dont jouissent les autres officiers de la marine ». Ce texte apparaît comme le premier portant nomination officielle d’un aumônier dans la marine. Le premier titulaire fut Saint Vincent de Paul. Sous Richelieu, une Importante flotte est construite et chacun des vaisseaux est pourvu d’au moins deux aumôniers. En fait, les fonctions de l’aumônier de marine ne seront véritablement définies que par l’ordonnance de 1689, promulguée par Colbert. Deux séminaires sont créés à Toulon et à Brest. La révolution de 1789 (loi du 1er mai 1791) supprime le “Grand Corps de la Marine” et chasse les aumôniers des vaisseaux. Avec le directoire, le calme revient, mais les aumôniers n’ont plus leur place officielle à bord et si, sous l’Empereur, les postes à terre sont pourvus en « hommes de Dieu », il n’en est pas de même sur les bâtiments. Il faudra attendre la Restauration pour retrouver les aumôniers embarqués (ordonnance du 8 janvier 1823). Peu à peu la situation s’améliore pour se dégrader à nouveau avec la Monarchie de Juillet (1830-1848). Seuls sont maintenus les postes d’aumôniers dans les ports. En décembre 1845, le Roi décide « qu’un aumônier serait embarqué â bord de certains bâtiments de la Flotte ». Durant le Second Empire, l’aumônerie de la marine s’organise et devient un véritable corps. Mais la défaite de 1870 entraîne le déclin de la marine et de son aumônerie. Ce déclin s’accentuera après les élections de 1878. Les républicains décléricalisent les grands corps de l’Etat et en premier lieu la marine. En 1907, c’est la suppression pure et simple du corps des aumôniers de la Flotte. Le statut et la fonction des aumôniers passent par une phase de transition entre les deux guerres. Le texte législatif de base organisant cette aumônerie date de 1880 et n’a pas été abrogé en 1905, lors de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. En 1939, l’aumônerie militaire était inexistante. Lors de la déclaration de guerre, on ne pouvait compter que sur de rares aumôniers dans le sud du Maroc, sur la ligne Maginot et en Alsace-Lorraine, provinces concordataires. En 1945, le cardinal Suhard demande au père Jean Badré de réorganiser une aumônerie générale des armées de terre. L’aumônerie des troupes françaises en Allemagne restera autonome sous la responsabilité de Monseigneur Picard de la Vacquerie jusqu’en 1951, où elle sera rattachée à l’aumônerie générale. De même, Jusqu’en 1952, l’évêque de Fréjus demeure l’ordinaire de la marine. II/ DU VICARIAT AUX ARMEES AU DIOCESE AUX ARMEES Le décret de la congrégation consistoriale du 26 juillet 1952, érige canoniquement le Vicariat aux Armée. Il réunit les trois aumôneries Terre, Air, Mer, sous la seule autorité du cardinal Feltin, archevêque de Paris. Celui-ci est assisté par trois aumôniers-chefs (l’équivalent de vicaires généraux) pour les trois armées. Par ce décret, préparé par M. Bernard Tricot et le père Maurice Hiret, le ministre Pierre Mesmer réorganise l’aumônerie dans le cadre des armées. Monseigneur Badré devient, en 1964, évêque auxiliaire chargé des armées auprès du cardinal Feltin. La guerre d’Indochine Durant la guerre d’Indochine, 300 aumôniers se succédèrent en Indochine, avec une présence moyenne de 60 prêtres. Quatorze ne revinrent pas. Le père Jeanson est directeur de l’aumônerie de l’armée de terre jusqu’en 1951, date où il fut assassiné. Pour saisir ce qu’étaient l’esprit et l’action des aumôniers durant cette guerre, on pourra lire le témoignage du père Jeandie: Soutane noire et béret rouge (Ed. de la Pensée moderne, 1957). Cet aumônier des troupes aéroportées y rapporte notamment ce que fut la présence des aumôniers au service des blessés. « De manière générale, la guerre d’Indochine fut pour les aumôniers militaires une expérience très forte qui les rapprocha beaucoup des troupes. Le tour des événements devenait mauvais en Indochine pour les troupes françaises. Parmi les assiégés de Dien Bien Phu, il y avait quatre prêtres. L’aumônerie fit alors tout son possible pour améliorer le sort des prisonniers, avec hélas bien peu de résultats ». (p. 110) La guerre d’Algérie Les aumôniers, comme l’ensemble des Français, vont progressivement prendre conscience qu’ils sont confrontés à une « autre guerre » que la guerre d’Indochine. Le rappel du contingent, la dimension politique du conflit et l’épreuve morale que va traverser l’armée les atteignent dans leur conscience personnelle comme dans l’accomplissement de leur ministère sacerdotal. De 1954 à 1962, l’aumônerie est de plus en plus présente en Algérie. En 1958, le père de L’Espinay est nommé aumônier en chef en Algérie. « L’aumônerie a connu durant la guerre d’Algérie des moments très difficiles. Il a fallu nous laisser ébranler dans nos certitudes… Nous avons essayé de vivre ce drame en restant proches de tous, soldats d’active comme appelés… Cette guerre a évidemment conduit l’aumônerie à s’occuper de plus en plus des appelés… Nous étions très attentifs à la difficulté que vivaient les séminaristes. » (même livre que pour la guerre d’Indochine) Dès 1954, François Mauriac, dans L’Express, dénonce l’usage de la torture. Les interventions des intellectuels français comme Camus et des chrétiens comme le général de Bollardière ouvrent un débat qui révèle la division des consciences sur la torture, les agressions, les exécutions sommaires. Les aumôniers sont eux aussi sollicités pour témoigner des positions de l’Eglise par eux qui, sur le terrain, sont confrontés à des choix et à des conflits de devoir. Comme dans toute situation conflictuelle, leurs positions ne sont pas toujours unanimes. L’aumônerie publie le 17 février 1959 un texte connu sous le nom de « Document vert » qui rappelle les exigences de la foi et introduit une réflexion pour en comprendre le bien fondé à partir de situations concrètes. Les prises de position de l’aumônerie sont reprises par deux documents officiels: - lettre du cardinal Feltin aux prêtres du Vicariat aux Armées, du 7 mars 1960. - lettre du cardinal Feltin aux militaires servant en Algérie, du 24 octobre 1960. Le cardinal y rappelle en ces termes la doctrine de l’Église: La torture « ne sera jamais admissible pour une conscience chrétienne. Dans ce domaine, même pour protéger, des vies humaines immédiatement menacées, l’absolu de la loi de Dieu est supérieur â ce devoir, même capital. Le maintien, même difficile, même héroïque, des valeurs chrétiennes et divines a finalement plus d’efficacité que la recherche probable du résultat immédiat ». Monseigneur Badré dira : « Cette lettre, que nous avons donc appliquée et expérimentée avant de la rédiger, fut véritablement la charte de notre action. » Cependant de nombreux aumôniers militaires seront davantage en accord avec la hiérarchie militaire, qu’avec le cardinal Feltin. Ainsi, le Père Delarue, grande figure des aumôniers paras, dénoncera ces propos comme ceux d’un homme qui parle de « Paris » et qui n’a aucune conscience des attentats quotidiens commis par le F.L.N. Pour mettre une note d’humour le Général de Gaule dira « Qu’a donc ce petit prélat, je lui paye bien sa solde, non ! »… L’aumônerie militaire connaîtra des dissensions à l’heure difficile du putsch des généraux à Alger, certains aumôniers suivront les troupes dans la rébellion, le plus souvent ceux qui avaient déjà servi en Indochine, et qui, comme les militaires français avaient le cœur serré de devoir abandonner des populations fidèles à la France, et qui, comme en Indochine seraient sauvagement assassinées par les « libérateurs ». Ces aumôniers seront révoqués, cependant les tribunaux militaires et la prison leur seront épargnés. François Mitterrand, rétablira les officiers « félons » dans leurs droits et grades y compris le droit à la pension militaire, cet agnostique élevé chez les maristes tiendra à faire le même geste en faveur des aumôniers militaires. En 1967, la direction du Vicariat aux Armées dont la responsabilité n’est plus assurée par l’archevêque de Paris. Celle-ci est confiée à Monseigneur Badré qui devient le premier Vicaire aux Armées Françaises. Cette responsabilité sera par la suite, à l’exeption d’un intérim (1969-1970) assuré par le père Marcel Thorel, confiée à un évêque : Monseigneur Vanel en 1970, Monseigneur Fihey en 1983. La constitution apostolique « Spirituali militum curœ » de Jean-Paul II du 21 avrIl 1986 transforme le Vicariat aux Armées en Ordinariat aux Armées, à dater du 21 juillet 1986. Les dénominations de Diocèse aux Armées, d’évêques aux Armées sont alors adoptées. Monseigneur Fihey sera donc le premier évêque aux armées jusqu’en 1989, date à laquelle Monseigneur Dubost lui succédera, actuellement depuis 1998, Monseigneur Patrick Le Gall, préside aux destinées de cette Eglise Particulière originale. sources essentielles de ce premier chapitre : L’aumônerie militaire française de Xavier Boniface – cerf Soutane noire et bérets rouges – Père Jandie. | |
| | | rousseau serge Pro !
| Sujet: Re: HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE Dim 2 Nov 2014 - 19:59 | |
| Merci Claude pour toute cette histoire . | |
| | | FOUQUET66 Expert
| Sujet: Re: HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE Lun 3 Nov 2014 - 12:37 | |
| Merci Claude pour cet historique fort intéressant. | |
| | | RC4 Pro !
| Sujet: Re: HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE Jeu 18 Mar 2021 - 22:17 | |
| Bonsoir Petite rectification, Le livre Soutane Noire et Béret Rouge est du Père JEANDEL et non pas JEANDIE Le Père JEANDEL en tenue de sortie, à Tu Lê avec le ''6'' de Bigeard, il se sacrifiera en restant avec les blessés et sera fait prisonnier: Bien cordialement jérôme | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: HISTORIQUE DE L'AUMÔNERIE MILITAIRE | |
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