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 URGENT. Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ?,« Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? »

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claude millet
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claude millet



URGENT. Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ?,« Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? » Empty
MessageSujet: URGENT. Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ?,« Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? »   URGENT. Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ?,« Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? » EmptyJeu 31 Mar 2016 - 23:12

URGENT. Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ?,« Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? » Download.html?IDMSG=150875&PJRANG=2
Veuillez trouver, ci-dessous ( et  en fichier pdf sur le blogue ), notre dernière tribune :


Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ? « Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? »
Dans une Belgique en alerte anti-terroriste maximum, depuis les attentats du 22 mars, personne n’a semblé comprendre les « débordements » provoqués par 500 « Hooligans lors de l’hommage à Bruxelles : Le chef de la police va devoir s’expliquer[1] » ! Décryptage. 
Ce ne sont jamais les faits d’actualité qui comptent en eux-mêmes, c’est la grille de lecture permettant d’en tirer la morale politique. Un avocat de la banque de France me disait un jour que, pour gagner, il faut « à tout prix » que la partie adverse ne dispose jamais de la véritable « grille de lecture » ! Tel est le cruel mais nécessaire axiome du vainqueur de l’Etat de Droit, tiré de la science d’aveuglement du Tartuffe de Molière, l’homme de pouvoir dominant aujourd’hui : « Et je l’ai mis au point de tout voir sans rien croire » !
Pour sortir de l’état d’hébètement collectif dont l’énigme des « débordements » de Bruxelles est le modèle type, commençons donc par en donner la grille de lecture. La clef de l’énigme, c’est qu’il faut décrypter cet événement comme le scénario d’un film de propagande gouvernemental : d’une mise en scène de figurants[2] tournée non pas en studio mais en plein air pour faire plus vrai. En premier lieu, il faut situer ce film dans son contexte global : celui d’une guerre d’oppression médiatique. Comme lors du référendum constitutionnel de 2005, en plein chaos migratoire, la bataille des « valeurs » fait rage pour la conquête de l’Opinion, divisée en deux camps : avec d’un côté, celui des gouvernants, des « loups déguisés en agneaux » voulant à tout prix poursuivre leur politique d’immigration suicidaire ayant conduit au terrorisme et, de l’autre, celui des peuples à subjuguer pour leur faire accepter l’inacceptable course à l’abîme. Deuxièmement, il faut préciser le genre « moralisateur » de ce film qui est une mise en scène « pédagogique » inversée du combat du Bien ( le Pouvoir ) et du Mal ( Le Peuple récalcitrant ), dans laquelle la noble cause des peuples à subjuguer est représentée par la caricature d’ « ignobles » méchants - les épouvantables Hooligans d’extrême droite - tandis que l’ignoble cause de la Tyrannie est représentée par la caricature de « nobles » figurants civilisés. La conclusion s’imposera alors d’elle-même. Troisièmement, il faut être bien conscient que, pour faire vrai et être crédible, un tel scénario caricatural devait être filmé in vivo avec un mélange bien dosé d’images d’Epinal et de dialogues stéréotypés, « pris sur le vif » à la manière des « bidonnages » ridicules de PPDA[3] comme des trucages criminels des charniers de Timisoara, en décembre 1989. Concernant  les « débordements » de Bruxelles du 27 mars, la lecture  du journal Le Monde permet à chacun de juger du « bidonnage médiatique » en découvrant - au fil du déroulé du film des événements - la police de Bruxelles jouant le rôle de chargé du « casting » et de « metteur en scène » des vitupérations des Méchants Hooligans, en appelant à la haine de l’autre, comme du triomphe  final de l’hymne à l’amour du multiculturalisme.
Action ! La grille de lecture une fois donnée, il suffit maintenant de découper en Actes de théâtre l’article du Monde.fr[4] , pour  dérouler pas à pas le scénario moralisateur, pour le décrypter  et pour aboutir ainsi au fin mot de l’énigme : à la morale de la fable gouvernementale devant justifier sa politique. Napoléon ne disait-il pas déjà : « L’histoire est une fable convenue ? »
 
LA PIÈCE DE THÉÂTRE  

ACTE I. Un recueillement multiculturel modèle.[size=32] [/size]Ce 27 mars «  Place de la Bourse devenue un lieu de recueillement et un mausolée en hommage aux 35 victimes et 350 blessés des attentats du 22 mars », « L’ambiance était multiculturelle, bon enfant, presque familiale ».

ACTE II. Une grossière provocation à la haine sous escorte policière.[size=32] [/size]Quand soudain « Tout a dérapé à 14 h 45 » « on les a entendus [les Hooligans ] arriver précédés d’une voiture de police, gyrophare allumé. En rangs serrés, tout de noir vêtus, parfois encagoulés, bouteilles de bière à la main : des centaines de supporteurs de clubs de football belges. Aux cris de « Fuck IS (Islamic State) », ils ont avancé vers la place sans être contenus par la police. Plusieurs font alors le salut fasciste et hurlent : « On est chez nous, on est chez nous ! »  A ces cris, quelques-uns quittent leurs rangs  » … « Mais moi, je suis de gauche, je me sens trahi… »

ACTE III. Un appel à l’amour : tous des immigrés !  « A l’arrivée des hooligans qui allument des fumigènes, la foule réunie pour se recueillir commence à huer. Puis des « No Pasaran » ou « Nous sommes tous des enfants d’immigrés ; première, deuxième, troisième génération » commencent à se faire entendre. Les forces de police observent, mais n’interviennent pas. » 
ACTE IV. L’inversion des rôles : tous des terroristes ! « Pour moi, ce sont aussi des terroristes », s’exclame une vieille dame venue avec une amie pour prier. Un homme d’une quarantaine d’années éclate en sanglots : « Non, ce n’est pas possible, dites-moi que ce n’est pas vrai qu’ils sont là… » Au bout d’un quart d’heure, les ultras, dont beaucoup ont le crâne rasé, prennent possession des marches de la Bourse. La police laisse faire. »
ACTE V La médiatisation mondiale : l’image de la honte ( des fachos) pour tous ! « A leurs pieds, les fleurs, les bougies, les mots déposés appelant à la paix et à la fraternité. Ils pavoisent devant les caméras. Certains font des doigts d’honneur. D’autres balancent leurs canettes vides. « Ce sont des images de honte pour nous, les Bruxellois. Et quand je pense qu’elles vont faire le tour du monde », dit un jeune étudiant, les larmes aux yeux. « Ils la voulaient cette photo, les fachos, eh bien, ils ont réussi », lance sa petite amie. »
ACTE VI. La police siffle la fin du tournage de la victoire du Bien sur le Mal. « Deux camions munis de canons à eau avancent doucement vers les fauteurs de trouble. A 15 h 5, des policiers anti-émeute se positionnent autour de la place. Une vingtaine monte sur les marches pour y déloger les hooligans « A la douche », « à la douche », crie la foule qui reprend espoir. « Barrez-vous », « Barrez-vous », hurle-t-elle en chœur. A 15 h 20, les forces de police, boucliers en avant et matraques levées donnent la charge. Devant un fast-food, les ultras se rassemblent pour un dernier baroud d’honneur, hurlant leur haine en direction des associations antiracistes qui ont repris possession des marches de la Bourse. A 15 h 40, les hooligans sont refoulés par les policiers vers la place de Brouckère, là d’où ils étaient venus [sous escorte policière]. »
ACTE VII. Hymne triomphal à la « Bruxelles multiculturelle » qui a triomphé de l’axe du Mal. « Petit à petit, la place redevient silencieuse. Puis un cri s’élève « Bruxelles multiculturelle », scandé en chœur par des gens de plus en plus nombreux, qui affluent vers le lieu de recueillement. »
ACTE VIII. Entrée en scène de « la Raison » qui ne comprend rien. « Mais très vite, c’est l’indignation qui gagne. « C’est un scandale. Nous avons été interdits de manifestation et ces salauds sont arrivés sans encombre depuis la gare du Nord, avec une voiture de police qui leur ouvrait la voie… », lance une jeune femme qui en tremble encore. « Mais quelles ont été les consignes données ?, s’insurge un vieux monsieur qui discute avec un cameraman. Le chef de la police de Bruxelles va devoir s’expliquer car on ne comprend plus rien… »
ACTE IX.  Tombée de rideau sur l’irruption du chœur des Tartuffes politiques  feignant l’indignation en oubliant les « consignes ». « Après cet incident, le maire de Bruxelles, Yvan Mayeur, a appelé à une « réaction du gouvernement fédéral » : « Je suis scandalisé de constater que de telles crapules aux visées de nazis viennent provoquer les habitants sur les lieux de leur hommage. C’est une honte pour le pays. Nous avons été prévenus hier par la sûreté de leur venue possible [place de la Bourse] et je constate que rien n’a été fait pour les empêcher de s’y rendre ( sic !). » Le premier ministre, Charles Michel, a condamné ces débordements : « Nous faisons ce qui est nécessaire avec la police pour renvoyer ces manifestants chez eux. Dans le même temps, nous demandons à chacun de garder son sang-froid et de rester calme afin que la police puisse poursuivre son travail (sic ). »
CONCLUSION
La conclusion de cette tragi-comédie – non plus « Société du spectacle » mais « Imposture théâtralisée » - est désormais facile à tirer ;
1)     La grille de lecture du scénario d’inversion des valeurs ( du loup déguisé en agneau de La Fontaine) est validée sur : la preuve que les débordements de Bruxelles étaient dirigés par la police et non spontanés ; sa mise à égalité d’un prétendu terrorisme du peuple agressé et du terrorisme de l’IS ; sa présentation de  la cause du mal ( la poursuite suicidaire de la politique d’agression « multiculturalisme » ) comme la solution de paix ; son inversion de la défense de la Civilisation en apologie de la Barbarie, par la supercherie des Hooligans téléguidés par la Police de Tartuffe.  
2)     Signature du bidonnage de l’information.  Au lieu de conclure par la question « Mais quelles ont été les consignes données ? », l’envoyée spéciale du Monde, Marie-Béatrice Baudet, devait donner la « réponse » ! En professionnelle avisée, sachant que la police ne fait qu’exécuter les ordres, elle devait faire son métier de journaliste. Elle devait conclure qu’à l’évidence, la police n’avait fait qu’exécuter la consigne de conduire les Hooligans   ( « vraisemblablement proche de l’extrême droite » sous-titre la photo pour les nuls… ) sur la scène des « marches de la Bourse » pour y jouer le rôle qui leur avait été assigné : faire leur numéro de cirque destiné à la prise de photos de propagande devant faire le tour du monde, avant la remise en cage des fauves de spectacle place de Brouckère. M.-B. Baudet devait mettre en cause la véritable finalité politique du film de propagande destinée à culpabiliser l’Opinion générale.  Ce qu’elle n’a pas fait et ce qui signe le bidonnage !
3)     Escamotage du personnage principal du scénario culpabilisateur: le Tartuffe dont il est le prescripteur et le bénéficiaire. C’est l’entrée en scène de Tartuffe qui conduit à la parfaite grille de lecture du scénario policier en livrant l’intention criminelle du Pouvoir que nous laissons au lecteur le soin de méditer avec pour le moins : son bidonnage médiatique ; sa censure du débat, par la voie d’un épouvantable terrorisme sémantique ; son instrumentalisation idéologique du terrorisme de l’IS à des fins de politique intérieure ( et par voie de c.nséquence révélant sa ténébreuse complicité avec le crime, ainsi encouragé et surmédiatisé !) ; la stigmatisation de sa propre population, conduite à l’abîme par une politique « suicidaire », etc. Crime de haute trahison parfaitement prémédité, car commis en déni de toute liberté d’expression, de toute vérité, de toute morale et de toute Démocratie ! 
Pour que la leçon d’un tel crime ne soit pas perdue pour l’Intelligence, l’histoire de la pensée et le salut des valeurs suprêmes sur lesquelles repose notre Civilisation, il faut faire un cas d’école du but terroriste de ces « débordements  » de Bruxelles qui sous couvert de la mise en scène téléguidée d’une « Extrême droite » Hooligan d’épouvante se révèle n’être QUE la Police de Tartuffe. Ce but - faire taire l’expression de la Volonté générale des Peuples par la  terreur sémantique - est criminel ! Il est l’aliénation mentale même de l’Esprit, l’inverse de la Démocratie. En substituant une Représentation inversée de l’Opinion à la véritable expression de la Volonté générale ( interdite de Représentation), le scénario de Bruxelles a pour but de formater les esprits pour faire adopter à chacun le comportement du figurant qu’il doit imiter : pour satisfaire au terrorisme sémantique gouvernemental d’une tyrannie sans nom qui veut lui dicter ce qu’il doit dire, penser et être !   
Derrière l’énigme de Bruxelles ainsi décryptée, ce qui se joue ce n’est ni un ridicule numéro de cirque, ni une simple opération de basse police, ni même une vulgaire visée politicienne. Ce qui se joue, c’est la haute trahison du gouvernement des Tartuffes « ces faux-monnayeurs en dévotion qui, nous dit Molière, veulent attraper les hommes avec un zèle contrefait et une charité sophistique ». Ce qui est en cause désormais, c’est l’enjeu de Haute politique dont dépend l’avenir d’une Civilisation : la nôtre. Ce qui se joue aujourd’hui c’est notre survie morale sinon physique  ! Pour s’en convaincre, il suffit d’avoir lu la sinistre prophétie de Malraux[5], il y a cinquante ans, sur l’irrésistible « poussée islamique » ;  d’avoir entendu la déclaration du général Antoine Martinez du 26 mars 2016, en appelant  à décréter l’ «  état de siège » ( art. 36 de la Constitution) ; d’avoir entendu enfin, à la Maison du barreau de Paris, le 24 mars dernier, l’ancien haut fonctionnaire algérien Boualem Sansal,  lauréat de l’Académie française, décrire l’irrésistible montée de la Haine dans les milieux issus de l’immigration, dire que « Toute action visant à remédier au mal aggrave le mal », que le fonds islamique est de 100 milliards d’euros de capital en Europe, désormais prise par les plus déterminés comme futur centre de l’Islam dans une montée pouvant apparaître comme invincible. Islam de conquête auquel l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a d’ailleurs, précise-t-il malicieusement, « donné des chefs »....
Cacher la véritable Représentation de cette tragique réalité, montrant que ce qui est en cause ce n’est pas simplement le fait d’un quarteron de Hooligans aux ordres d’une police – d’ailleurs démoralisée et conduite au suicide comme les agriculteurs - mais le fruit d’une politique criminelle de destruction de l’Europe, conduite sous le masque de Tartuffe au nom d’un prétendu multiculturalisme et qui apparaît désormais comme le crime des crimes contre la Démocratie, commis par des gouvernements se disant représentatifs.  Et ce crime est pratiqué par le terrorisme le pire car il se fait message de paix du bon apôtre : le terrorisme sémantique masqué du Tartuffe de Molière, donneur de leçon pour mieux déboussoler sa victime et lui faire perdre la raison, pire que celui de l’islamisme, pire que le « terrorisme » d’opérette des Hooligans lui servant d’épouvantail.  Le 27 mars 2016 à Bruxelles, le mode opératoire terroriste de Tartuffe était le même qu’à Versailles lors des « débordements » de  « l’attentat des tags de  Kapoor » de l’été 2015. Le même,  à ceci près qu’à Versailles le metteur en scène n’a pu trouver de figurants,  que le bidonnage policier a été dument démonté et publié dans une lettre ouverte à la reine Elisabeth II du 18 décembre 2015, incontestée et qui fait désormais référence en matière de génocide et de terrorisme culturels[6].
A la lecture du décryptage de la mise en scène tragi-comique des vrais-faux « débordements » de Bruxelles du 27 mars 2016, du providentiellement « rendue visible pour tous » par la maladresse de la Police, des Médias et du chœur des Tartuffes politiques, comment ne pas évoquer l’atroce anticipation de Saint Just : « Le peuple n’a pas de pire ennemi que son gouvernement » ; qui pourrait douter que le premier verrou criminel à faire sauter au plus vite soit celui de la Trahison des Tartuffes triomphants au sommet de la pyramide du Pouvoir ?  Qui peut encore douter qu’il est grand temps que la volonté générale s’organise ?
Mais pour cela, encore faudrait-il commencer par y voir clair et décider de réarmer  au plus vite l’Intelligence des Peuples d’Europe, ce que veulent à tout prix empêcher les Gouvernements d’imposture comme vient de l’illustrer à merveille l’énigme policière des Hooligans fantoches de Bruxelles enfin résolue !
Arnaud-Aaron Upinsky
Président de l’UNIEF/CDV
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