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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.

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Langenargen
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MessageSujet: Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.   Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin. EmptyLun 27 Oct 2008 - 16:08

Afghanistan: vigilance maximum pour les soldats français

Il y a 4 heures
VALLEE D'AFGHANIA (AFP) — La section progresse en colonne dans le lit d'une rivière asséchée, l'oeil aux aguets et les armes pointées sur les champs alentour: les renforts français de Kapisa ont mené vendredi une opération de "contrôle de zone" en vallée d'Afghania."On s'attend à être pris à partie à tout moment", glisse le caporal-chef Claude X. tandis que les soldats s'enfoncent à pas de loup dans cette vallée pachtoune de l'est de l'Afghanistan, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul.Pas question de s'y aventurer "la fleur au fusil", ceux d'en face "combattent de la même manière et c'est le plus compétent qui s'en sort le mieux", enchaîne le soldat du 8e RPIMa (8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine).Commandant de l'opération, l'adjudant Arnaud X. complète, entre deux ordres: "Il est très difficile de faire la différence entre paysans et insurgés; ici, un jour on peut être paysan et le lendemain porter une arme". Tandis que la section "Blanc 4" se déploie en ligne aux abords d'un hameau,
les habitants semblent l'ignorer, poursuivant les travaux des champs comme si de rien n'était. Mais un homme part en courant et met en alerte les soldats. L'objectif est une maison aux murs de torchis, véritables remparts à l'épreuve des balles.
Selon des renseignements recueillis auprès de la population, un insurgé pourrait s'y cacher et y fabriquer des "engins explosifs improvisés", ces mines artisanales disposés le long des routes empruntées par les convois de la coalition internationale.La maison est investie en douceur mais la tension est à son comble. D'un geste rapide, les soldats braquent leurs armes munies de torches lumineuses sur les recoins sombres, se couvrant mutuellement. Les femmes et les enfants sont réunis calmement dans une pièce tandis que la fouille commence. Le tout se fait en présence d'un policier afghan, garant de la légalité, et de Tim, un conseiller américain incorporé dans les renforts français déployés cet été en Kapisa."On fait vraiment attention à tout pour que l'armée française ait une bonne image", assure l'adjudant Arnaud X. "On n'enfonce pas les portes, on demande si on peut rentrer et on respecte les femmes que l'on ne va pas voir".La fouille est confiée à une équipe du génie. Elle s'effectue rapidement à l'aide d'une simple sonde et de détecteurs de métaux. Les tentures sont soulevées, la paille retournée mais rien n'est dérangé.A l'extérieur, les soldats ont établi un périmètre de sécurité, scrutant bosquets, talus et haies à la recherche de la moindre attitude suspecte.Quatre maisons ont été fouillées vendredi, sans aucun indice de la présence d'insurgés, d'armes de guerre ou d'explosifs.
La veille, une autre compagnie du 8e RPIMa avait fait carton plein non loin de là, dans la vallée de Bedraou. Après avoir trouvé armes et munitions dans une maison suspecte, les soldats ont découvert six caches aux alentours.Butin: un canon de 82 mm avec dix obus, une douzaine de roquettes, du matériel de fabrication d'engins explosifs (composants électroniques, piles, munitions), une Kalachnikov... Pas d'interpellation cependant, les occupants des lieux s'étaient éclipsés avant l'arrivée des Français.De sa patrouille en vallée d'Afghania vendredi, "Blanc 4" ramènera un suspect. L'homme avait sur lui trois téléphones portables, des appareils susceptibles de déclencher à distance des mines artisanales. Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.
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Michel
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MessageSujet: Re: Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.   Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin. EmptyMar 28 Oct 2008 - 7:24

Bonjour Langenargen,
Merci pour cette info.
Sais-tu pourquoi il a été relâché ??
Je vois qu'il y avait un Policier Afghan dans le dispositif, comme c'est je crois la règle, est-ce qu'il à été remis aux autorités Afghanes avant d'être relâché ??
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Langenargen
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MessageSujet: Re: Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.   Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin. EmptyJeu 30 Oct 2008 - 16:50

Bonjour Michel,
J'ai vu de nombreux reportages, c'est toujours la même chose...les gus sont relachés faute de preuves...et interdiction de les brusquer ou de rentrer chez eux sans leurs accords...!!!!!
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Michel
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Michel



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MessageSujet: Re: Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.   Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin. EmptyJeu 30 Oct 2008 - 17:11

C'est un peu comme en France quoi.
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Interrogé par le renseignement militaire français, il a été relâché samedi matin.
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