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| le 3e et le 8e RPIMa, les artilleurs tarbais encadrent également l'armée afghane | |
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Langenargen Pro !
| Sujet: le 3e et le 8e RPIMa, les artilleurs tarbais encadrent également l'armée afghane Mer 3 Déc 2008 - 19:35 | |
| 35e RAP en Afghanistan : «Une mission particulière»Déjà engagés avec le 3e et le 8e RPIMa, les artilleurs tarbais encadrent également l'armée afghane.Le lieutenant-colonel Jean-Jacques Smagghe. Samedi 22 novembre 2008… un instructeur français de l'armée afghane est victime d'une mine, lors d'une reconnaissance à pied près du camp de Darulaman, au sud de Kaboul. Dimanche 23 novembre 2008. 22 hommes du 35e Régiment d'Artillerie Parachutiste de Tarbes, 4 hussards du 1er RHP et 7 personnels du 17e RGP, tous sous le commandement du lieutenant-colonel Smagghe, commandant en second du 35, rejoignent Kaboul. Le lien ? Chacun aurait aimé le découvrir autrement que par un drame : mais il tient en quatre lettres, une mission commune. OMLT pour Operational Monitoring Liaison Team. La mission que remplissait l'adjudant du 3e Régiment du Génie, décédé samedi. La mission qu'effectuent aussi les Tarbais et Montalbanais depuis hier. « Une mission particulière qui consiste à former, encadrer et conseiller l'armée afghane » résume le colonel Smagghe, ce vendredi, comme il est donc sur le départ, à la tête d'une trentaine de parachutistes de la 11e BP. Un boulot qui, sur le papier peut sembler éloigné de la première ligne, là où sont engagés les autres artilleurs du 35e en Kapisa, avec leurs mortiers de 120 mm, mais qui ne l'est pas puisque l'on y est aussi exposé au danger, que là-bas, rien n'est anodin. Comme le démontre le drame de samedi. Comme le veut le contenu même de leur mandat. Car au-delà de la formation des militaires afghans de ce bataillon, « afin de les amener à conduire de façon autonome leur mission » poursuit le lieutenant-colonel Smagghe, « notre détachement les accompagnera non seulement à l'instruction mais également en opération» précise-t-il encore. Artilleurs tarbais pour former les engagés locaux équipés de canons russes, hussards pour le travail de reconnaissance et de renseignement, parachutistes du génie pour le déminage : durant six mois, les militaires français vont poursuivre un travail délicat. Difficile. Et d'autant plus, sans doute, qu'on sait qu'en Afghanistan, aujourd'hui comme hier, la guerre est aussi un job. Payé 100 $ par mois par les alliés. 150 $ par les taliban. Et qu'il faut faire avec cette réalité-là. | |
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