Tout sauf Borgo lol

Perso j'ai fait mes trois sauts PMP sur la zone de Borgo "2e REP" en corse et il fallait une sacré motivation pour vouloir continuer lol car carcasses de voitures, quelques ruines et des épineux en veux tu en voilà complétaient le décor de la zone et malgré nos dégrafables rapides plus d'un c'est retrouvé entrainé par le vent au posé et fini avec la figure complètement griffée par un slalom indésiré entre les buissons mdr.

salut !
perso , j'ai "fait " Borgo aussi .......... sauf que ma promo PMP n'a jamais sauté la bas , trop de vent pendant les 3 jours ou nous sommes rester !
nous etions avec une promo du Rep , pour eux aussi , tout au sol !
sauf que eux , ils ont remplacer les sauts par pas mal de sport , beaucoup plus que nous les premilitaires !:lol!:

lol en ce qui nous concerne ils ont été moins regardant sur le vent mdr. Onze heures de bateau même au tarif militaire il faut les rentabiliser donc on a sauté ce qui justifie les hors zone avec carcasses et maisons en ruine situées a proximité. J'ai connu cela aussi sur un saut a Caylus aprés un vol tactique depuis la base de mérignac ou on a sauté malgré un vent assez fort résultat la moitiée du stick suspendue dans les arbres et l'hopital militaire rempli dès notre arrivée mdr. Sinon a pont saint vincent pour le CEC pareil saut avec vent assez fort et "posé" au sein d'un troupeau de moutons mdr. J'en passe de vertes et des pas mûres :lol!:

Citation :

Perso j'ai fait mes trois sauts PMP sur la zone de Borgo "2e REP" en corse et il fallait une sacré motivation pour vouloir continuer lol car carcasses de voitures, quelques ruines et des épineux en veux tu en voilà complétaient le décor de la zone et malgré nos dégrafables rapides plus d'un c'est retrouvé entrainé par le vent au posé et fini avec la figure complètement griffée par un slalom indésiré entre les buissons mdr.

Ben Camarade !

Tu ne croyais tout de même pas que d'être para, c'était pénard !!!!

Je vous raconterais, un largage en pays Basque, où la moitié de la compagnie est rentré en ( ambulance !!!! ) :lol!:

Ben si je pensais que tout était péper MDR. Sinon sur pays basque j'ai quelques anecdotes concernant quelques appelés "à l'époque" peu rassurés d'être "en position" sur le cable et ayant sautés plus tôt que prévu lorsque les largueurs ont voulu les rassurer par une tape amical sur l'épaule. Vu le bordel les largueurs ont arrèté les gestes amicaux MDR interprétés souvent comme un "go".

Oui!

Il nous faut raconter les anecdotes truculentes et les autres de nos sauts :lol!:

J'ai vu lors de mon PEG, lors d'un saut en Noratlas, tout un câble d'aspi, finir dans les arbres, alors que l'autre câble, le notre, atterrissait sur la DZ...

Un coup des largeurs ,,, :cheers:

Une autre fois, mon ancien chef de promo, me voyant en dernier de câble, sur Transall, me retint ..... Je me suis retrouvé en fin de zone de saut :lol!:

Lors d'un saut en transall , je devais être en 6eme position , mon camarade qui était devant et " inapte au saut " à fait un refus de saut et s'est assis à la porte les mains crispées de chaque coté de celle ci..
Notre progression stoppée pendant que l'autre stick sortait par l'autre porte , la largueur m'a regardé et instinctivement j'ai attrapé les mains de mon camarade para pendant que le largueur me poussait dehors....
je dois avouer que je suis sorti la tête la première et fort heureusement juste avec des torsades à l'ouverture... donc du pédalage !!!!

Coltinou
326844

Ben moi un excellent souvenir de Borgo : un temps superbe (août 1984) et tout ce que je n'ai plus jamais réussi à faire par la suite :
- un face moteur ce qui fait que j'ai vu le C 160 s'éloigner de moi
- un courant ascendant ce qui fait que je l'ai vue légèrement au-dessous de moi
- un atterrissage presque debout (pour être précis, j'ai posé les mains par terre)
Je crois avoir trouvé l'explication :
- une erreur au passage de la portière d'où le face moteur
- un temps très chaud et un air très lourd d'où la légère remontée en sortie d'avion et l'atterrissage debout
- la chance du débutant

J'ai connu cela une fois à Pau pour le brevet MDR. J'étais en fin de cable me suis retrouvé dans un courant d'air chaud ce qui fit mon plaisir car ce fût pour moi le saut le plus long. Le C160 a eu le temps d'effectuer sa rotation pour larguer un deuxième passage que je n'étais toujours pas posé lol. Mon seul regret ne pas avoir pris un appareil photos avec moi ce jour là car j'aurais pu faire tout un album

D'ailleur le même jour sur un autre saut je me suis retrouvé au dessus d'un autre parachutiste en aspiration dans sa descente les jambes en équerre et le cul posé sur sa voile et j'ai dû tractionner rapidement car du coup sa voile était entrainée par la mienne MDR.

Citation :

J'ai connu cela une fois à Pau pour le brevet MDR. J'étais en fin de cable me suis retrouvé dans un courant d'air chaud ce qui fit mon plaisir car ce fût pour moi le saut le plus long.

L'endroit où est la turbulence en question est la piste qui même à la DZ matériel et qui coupe en deux le DZ personnel de Writh !!!

En plus de rester plus longtemps que les autres en l'air ( selon l'hydrométrie du jour), cet endroit est le plus près de la zone de réintégration des pépins....

Croyez en un bon consommateur de l'endroit :cheers:

pour moi j'ai fait mon troisième saut en nord atlas avec le 2rep en fin de câble et surtout fin de zone,celle ci était balisée par des feux et pour rôtir j'ai tractionné de tout les cotes et je ne me suis pas bien positionné pour la réception ,donc fracture du pied.a mon retour un capitaine du 2 rep voulait que je fasse mon quatrième saut.Enfin c'est des souvenirs de 1982 par la suite j'ai été incorpore au 6 rpima.

Très mauvais souvenir pour moi,
parti en fin d'année (novembre) avec les unité du GSIGN (EPIGN/GIGN/GSPR) pour écluser le reliquat de sauts attribués et aligner les gars pour être sûr de sauter, alors que sur le continent c'était moins évident.
petit saut de nuit en "touriste" à poil (sans gainasse, ni flingue) pas trop de vent : bonne traction (certain !) mais à quelques mètres du sol, comme aspiré vers la mer, alors que le copain à coté de moi a été aspiré de l'autre, on n'a jamais compris ce qui c'était passé ! résultat atterri comme un sac à patates à un carrefour de piste, sur une ornière dure comme du béton.
un bleu de la fesse au creux du genou, et du coup le lendemain j'ai loupé un saut en tandem dans la baie de Calvi promis par un pote mono !
heureusement que je suis un petit gabarit assez léger, j'ai eu l'impression d'exploser à l'impact et j'ai boité un petit moment ! Pris aussi une bonne biture avec les Chuteurs Ops, j'ai suivi un pote de l'EPI jusqu'à leur "sainte Chapelle" où il a retrouvé un copain de sa promo et pas revu depuis...
Il parait qu'une binouze ça vaut un steak, ce soir là, on a bouffé un bœuf entier, mais c'est une autre histoire !
zizi