coupe de france de parachutisme Lens

Citation :

n'oublions pas que les compétiteurs d'autres clubs progressent ce qui crée une saine émulation.

Oui mon ami, mais tu reconnaitras que l'ETAP avait à l'époque, l'outil pour !!!!

Tu es encore jeune, pas à jeun car bordelais :lol!: mais jeune ...

Sortie face moteur ?

Quel taupin ?

Le 2501, un Broussard ?

Quel beau souvenir tu as là !!!!

Sergent LOMBART a écrit:

Citation :

n'oublions pas que les compétiteurs d'autres clubs progressent ce qui crée une saine émulation.

... Sortie face moteur ?

Quel taupin ?

Le 2501, un Broussard ?

Quel beau souvenir tu as là !!!!

Que nenni ! c'était en 1956.

mais un Dragon de Haviland, bimoteur entoilé .

les élèves ( 2 ième degré) passaient sur l'aile et partaient face au moteur, une barre métallique permettait de s'accrocher pour ensuite se propulser vers l'AR permettant ainsi d'être sustentés dès la première seconde.

Le confirmés sortaient , tête la première en plongeant.

J'ai le brevet n° 654 , c'est dire que nous étions peu nombreux à cette époque à chuter.

Les plus anciens totalisaient environ 600 sauts, aujourdh'hui je crois que c'est 6000 .

Mon plus beau souvenir ?

Celui d'un saut depuis un Tiger Moth.( double baquets, le pilote derrière, le para devant )

Inoubliable !

J'ai mis par écrit, le récit de mon stage de deuxième degré à Gisy les Nobles, où j'ai eu le plaisir de rencontrer Pierre Lard, une figure à l'époque.
J'espère que mes petits enfants ( 3 garçons) sauront à leur tour passer la portière!

Comme je souhaite que tu passes une nuit pleine de merveilleux souvenirs ....



Tu n'as plus qu'a t'équiper !!!

Il y a la tous les résultats de nos Militaires lors de la Coupe de France à Lens.

http://www.sports.defense.gouv.fr/spip.php?article254

Michel écrit:

>Il y a la tous les résultats de nos Militaires lors de la Coupe de France à Lens.


Merci pour ce classement.

il démontre que les paras militaires sont toujours parmi les meilleurs.

Revoyant ces photos que publie SL, elles me remettent en mémoire mes sauts a Gisy les Nobles.

Le terrain allait être définitivement fermé, déjà nous allions embarquer à la Ferté Gauché pour venir sauter à Gisy.

Nous n'avions pas de radio pour communiquer du sol avec le pilote, Mr Gaulard le chef pilote de Gisy, avait mis au point une technique empirique pour signaler; au moment du largage, si un avion ne venait pas dans notre espace aérien .

Un guetteur, se tenait près de la croix tracée au sol avec un ventral ouvert.
si un avion étranger survenait; le guetteur deployait rapidement le ventral en l'étalant largement sur le sol, le pilote ainsi informé, refaisait un tour de piste non sans râler contre l'intrus.

Faute de moyens, c'était le système D qui prévalait.

Il faut dire qu'à l'époque, très rares étaient les chuteurs qui étaient équipés d'alti et de chrono fixés sur une planchette sur le ventral.

Trop cher pour la majorité d'entre nous. Nous comptions les secondes ou si tous les paras embarqués se connaissaient, un était désigné pour ouvrir au terme du temps. Les autres ouvraient en cascade à la suite.

Evidemment le sacrifié au comptage, n'entendait pas perdre une seconde de chute, il tirait juste au temps.

Je ne vous parle pas des menaces de suspension dont le chef de centre nous gratifiait.

Car le dernier à ouvrir était bien en dessous de l'altitude réglementaire.

Je suppose qu'aujourd'hui les systèmes électroniques sont présents partout ?

Et que les chuteurs peuvent se concentrer sur les figures à exécuter sans avoir à compter les secondes .




Tu n'as plus qu'a t'équiper !!![/quote]

Il y a bien des systèmes aujourd'hui, et avec la Progression Accélérée en Chute (PAC) il ne doit plus y en avoir beaucoup qui compte.

C'était pourtant une bonne habitude que d'avoire la notion du temps.

Pareil pour le largage, maintenant, les avions sont équipés de GPS, c'est moins amusant pour les visites des alentours