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 Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine : Le Sergent-chef Marc Guèye, un "écrivain infiltré" très attaché à la France. Il lui voue un amour de soldat pour son fanion militaire"

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Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine : Le Sergent-chef Marc Guèye, un "écrivain infiltré"  très attaché à la France. Il lui voue un amour de soldat pour son fanion militaire" Empty
MessageSujet: Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine : Le Sergent-chef Marc Guèye, un "écrivain infiltré" très attaché à la France. Il lui voue un amour de soldat pour son fanion militaire"   Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine : Le Sergent-chef Marc Guèye, un "écrivain infiltré"  très attaché à la France. Il lui voue un amour de soldat pour son fanion militaire" EmptySam 17 Oct 2009 - 14:11

Étonnant... à suivre...!
Livre
Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine : Le Sergent-chef Marc Guèye, un "écrivain infiltré"

Marc Guèye, ancien membre du Bataillon de marche du 5e Régiment d'Infanterie coloniale publie son journal de guerre : Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine.Il y consigne les émotions partagées avec ses frères d'armes lors de ce conflit qui a opposé la France au Viêt Minh.

Edité par les Presses Universitaires de Dakar, Un tirailleur sénégalais dans la guerre d'Indochine est une relique documentaire rédigée par Marc Guèye, ancien membre du Bataillon de marche du 5e Régiment d'Infanterie coloniale. Au cœur de ce conflit, de 1953 à 1955, le Sergent-chef Guèye a consigné ‘sur les champs de bataille, dans les abris pendant les instants d'accalmies’, tous les détails importants de son parcours. En plus d'être fidèle aux faits historiques, cet ouvrage, comparable à un journal de guerre, a aussi une démarche anthropologique. Le Sergent-chef Marc Guèye confie les émotions partagées avec ses frères d'armes lors de la phase terminale de la guerre d'Indochine. Il narre le quotidien extrême-oriental du Corps expéditionnaire français, une mosaïque bigarrée où Allemands et Polonais de la Légion étrangère côtoient les Tirailleurs sénégalais Agnis, Baoulés, Ouolofs (et autres ethnies de l'Afrique occidentale française) ainsi que les officiers, sous-officiers, et homme de troupes français de souche. Sans compter les Pieds-noirs d'Algérie et les troupes provenant de la Martinique ou de la Réunion; tout ce beau monde réuni autour d'un seul et même objectif militaire: ‘Le maintien des forces françaises dans la péninsule indochinoise.’

Le Sergent-chef Guèye est très attaché à la France. Il lui voue un amour de soldat pour son fanion militaire. Lui et ses compagnons, convaincus de ne jamais faillir à leur devoir, ont traversé des moments douloureux, compté et recompté leurs frères disparus au combat. Et lorsque Marc Guèye évoque ses compagnons tombés lors d'affrontements entre l'Union française et les troupes Viêt-minh, c'est toujours pour magnifier leur engagement.

‘Tant que flottera le drapeau tricolore que nous vénérons tous comme symbole, l'histoire vous réservera des pages qui ne causeront aucune honte’.

Un Tirailleur sénégalais dans la Guerre d'Indochine prend le soin de réinsérer la narration dans un contexte historique, d'exposer au lecteur les ressorts cachés du conflit. A cet effet, Marc Guèye ‘fréquente’ Ho Chi Minh, relate les exactions de Dien Bien Phu, les attaques aériennes au napalm. Il ‘photographie’ également les contrastes géologiques entre le Delta du Tonkin, le Laos, le Nord et le Sud Vietnam... avant de narrer l'épilogue d'un conflit que seul ‘un haut sentiment de détermination, de patriotisme sans égal peut permettre d'engager’.
Mohamed NDJIM
(Stagiaire)
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