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 De quoi énerver en ce début de vacances de la Toussaint

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Rasura
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MessageSujet: De quoi énerver en ce début de vacances de la Toussaint   De quoi énerver en ce début de vacances de la Toussaint EmptyLun 26 Oct 2009 - 22:52

De quoi énerver en ce début de vacances de la Toussaint . Il va bientot avoir plus de Gaux en 2 S , 5 566 en 2008, une demi division !! , que de Militaires Opérationnels.

Pas de SOUS, également pour l'alignement des PMI des Sous Officiers sur les Off Mariniers , mais que de gaspillages ailleurs et dans nos rangs . enfin nos rangs si on veut !! car on ne doit pas , on ne mange pas dans la même gamelle quand même !!

La légion gérée par des civils? Ouf !!

Allez , bonnes vacances de la Toussaint .

JC M

rédigé le 24/10/09
24/10/2009

Le "quart-de place" des généraux coûtent plus de trois millions d'euros à la Défense

Les généraux en deuxième section (2S) bénéficient, comme les militaires d'active, d'une réduction de 75% sur le prix de leurs billets SNCF. Mais rien n'est gratuit et cette réduction à un coût pour la Défense, de l'ordre de trois millions d'euros. C'est ce qu'a récemment indiqué le ministère de la Défense interrogé par le député Lionel Tardy (UMP, Haute-Savoie). "Le coût de ce dispositif s'est élevé, en 2007, à 2,85 millions d'euros, pour un effectif de 5 566 officiers généraux appartenant à la deuxième section, et à 3,1 millions d'euros en 2008 pour, 5 610 ayants droit", indique le ministère, soit une aide de plus de 500 euros par officier général qui n'est plus en activité. "Ces montants ont représenté respectivement 1,59 % et 1,61 % du montant global versé par le ministère de la défense à la SNCF au cours de ces deux dernières années", précise le ministère.
Les généraux 2S bénéficient d'un autre avantage, ajoute le ministère de la Défense. Leur traitement est en effet considéré comme une "solde de réserve" et non pas comme une "pension". Il en résulte un avantage fiscal, avec une "déduction forfaitaire pour frais professionnels de 10 %, encadrée par un minimum et un plafond, dont les montants respectifs sont supérieurs à ceux des pensions et retraites". (13893 euros au lieu de 3592 euros).
"Compte tenu de la complexité et de la diversité des situations individuelles, il n'est pas possible d'indiquer une évaluation du coût global que représente [cette
mesure] pour l'État" reconnait le ministère de la Défense.

Rédigé le 24/10/2009
23/10/2009

La création d'un nouveau centre de formation à la montagne coûtera un demi-million d'euros

Guy Teissier, président de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, a affirmé que la création d'un nouveau centre de formation à la guerre en montagne, à Modane (Savoie) coûtera 500.000 euros.
Il n'a pas été contredit par le chef d'état-major de l'armée de terre (cemat),
le général Irastorza, qui était auditionné par les députés le 14 octobre.
Le président Teissier a exprimé a fait part de l'"l'incompréhension générale" suscitée par la fermeture des deux centres d'aguerrissement à la montagne (Barcelonnette et Briançon) et la réouverture d'un nouveau centre à Modane. Guy Teissier a rappelé que 100 millions de francs (15 millions d'euros) avait été consacré à la rénovation du casernement de Barcelonnette dans les années 90.
Le Cemat a assuré que "dans le temps, la nouvelle organisation se révélera moins coûteuse". Selon lui, Modane ne sera qu'"une base arrière rustique, rattachée au 13ème Bataillon de chasseurs alpins", susceptible d'accueillir onze unités par an.


Rédigé le
23/10/2009
Drones: le scandale du DRAC

Les drones de reconnaissance au contact (DRAC) de l'armée de terre ne volent plus, vient de révéler le chef de l'armée de terre (cemat), le général Irastorza lors de son audition par les députés de la commission de la Défense. "Les vols devaient être relancés assez rapidement" a-t-il toutefois assuré.
Le DRAC est un petit drone d'une douzaine de kilos, lancés à la main, pour des reconnaissances à courte distance. Fabriqué par EADS, "il a présenté deux difficultés majeures de mise au point, mais la première, due à l'interférence entre l'optique et le système de géo-référencement, a été reglée par l'industriel, et la seconde, liée à des problèmes de motorisation, est en cours de règlement", a affirmé le Cemat.
Le député Jean-Claude Viollet (Charente, PS) a néanmoins fait remarquer que "la procédure d’acquisition a été lancée en 2003 et le contrat d’acquisition finalisé en 2004". Il y a donc cinq ans.
L'industriel EADS semble rencontrer le même succès avec son mini-drone DRAC
qu'avec son plus gros SIDM...
"Seuls vingt-cinq appareils, qui « pourraient » voler, ont été livrés à ce jour sur les 110 attendus. La commande de 50 engins prévue en 2009 pourrait ne pas être passée et aucun crédit n’est inscrit en 2010 en cas de report", a-t-il constaté. "Faut-il dans ces conditions faire de « l’acharnement thérapeutique » ou procéder, comme le commandement des opérations spéciales, à l’achat du Skylark israélien qui donne toute satisfaction, y compris en matière de suivi de cible ?"
Réponse du Cemat : "Il faut sortir très rapidement de l'impasse que vous avez
relevée."



Rédigé le 24/10/09
23/10/2009
La France va maintenir ses drones Harfang en Afghanistan

La France souhaite "maintenir sa capacité [de drone Harfang] sur le théâtre afghan", nous a assuré l'armée de l'air, qui met en oeuvre deux de ses appareils sur la base de Bagram. A l'origine de ce déploiement, en février dernier, il n'était pas prévu que ces drones, auparavant connus sous le nom de SIDM, restent plus d'un an en Afghanistan. Ils ont prouvé leur utilité et les autorités militaires et politiques ne souhaitent plus s'en passer.
Un troisième drone, endommagé à la suite de manoeuvres aériennes trop violentes, a dû être rapatrié en France et les travaux de réparation devraient bientôt commencer. Un quatrième drone est en cours d'acquisition. Au total, l'armée de l'air devrait donc en aligner quatre : trois en Afghanistan et un en France pour l'entraînement.
Au total, les drones Harfang ont effectué environ 1100 heures de vol de reconnaissance au dessus de l'Afghanistan, soit environ une trentaine d'heures chaque semaine. Ils sont mis en oeuvre par un détachement permanent de 25 aviateurs de l'escadron Adour - qui possède huit "opérateurs de vol" pour ces avions pilotés depuis le sol.



Rédigé le 23/10/2009
22/10/2009


L'avenir de l'Hôtel de la Marine ou comment le confier au privé

"La Tribune de l'art", un site internet spécialisé, nous donne des nouvelles de l'avenir de l'Hotel de la Marine, place de la Concorde à Paris. Le 15 septembre, une réunion interministérielle consacrée à la "valorisation de la l'Hôtel de la Marine" s'est tenue sous la présidence de Jean de Boishue, chargé de mission à Matignon,
du général Pierre de Villiers, chef du cabinet militaire du Premier Ministre et de représentants de l'Elysée et de plusieurs ministères, dont les Finances, la Défense et la Culture.
"Dans l'esprit de nos dirigeants", dénonce la Tribune de l'art [on peut lire l'article complet en cliquant ici], ce monument de Gabriel n'est plus "qu'un actif qu'il convient de rentabiliser au maximum.
Et ce n'est pas facile puisque son double caractère de monument historique et de bien du domaine public font peser sur lui un certain nombre de contraintes dont on sent qu'elles gênent fortement les projets gouvernementaux."

"L'objectif de cette réunion était donc d'examiner comment l'on pouvait réduire au minimum ces contraintes. Pour cela, une étude avait été commandée au cabinet d'avocats d'affaires international Gide-Loyrette-Nouel, qui avait rendu son rapport, Modalités de valorisation de l'Hôtel de la Marine le 24 juin 2009." Ces deux documents "ne prennent jamais en compte le devenir du mobilier (...) Jamais non plus n'a été abordée la question d'une quelconque sujétion du bâtiment à la visite au public. Si le principe de la conservation de la propriété par l'Etat du monument ne fait maintenant plus aucun doute, le montage envisagé revient dans les faits à peu près au même. Il est en effet nécessaire de « rentabiliser l'opération » comme le rappelle le ministère de la Défense. Cette « rentabilisation » passera donc par une location par un bail emphytéotique.
Selon les propositions du Cabinet Gide-Loyrette-Nouel, un appel à projet sera passé auprès d'un opérateur privé qui proposera lui-même la durée du bail qui
peut être comprise entre 18 et 99 ans
."
Toute la question juridique, très complexe et dont le détail est bien expliqué par l'article de la Tribune de l'art, est de savoir comment l'Etat pourra accorder des "droits réels" au futur locataire.

Rédigé le 24/10/09
22/10/2009


Metz : ce sera bien un régiment français en provenance d'Allemagne

Le ministre de la Défense Hervé Morin nous a confirmé, mercredi, que le régiment qui doit s'installer à Metz sera bien un régiment français de la brigade franco-allemande (BFA) actuellement stationné en Allemagne. Il n'y en a que deux : le 110ème RI à Donaueschingen et le 3ème Hussards à Immendigen. Comme l'annonçait les Dernières nouvelles d'Alsace, il est fort probable que ce soit ce dernier régiment. Le ministre de la Défense doit parler de ce sujet avec son homologue allemand ce vendredi, en marge d'une réunion de l'Otan.
L'annonce, faite jeudi dernier, par le président de la République, lors de son voyage surprise en Lorraine, a visiblement pris de court les militaires et la Défense. Pour la petite histoire (mais qui en révèle beaucoup sur le fonctionnement de nos institutions), l'un des officiers généraux les plus concernés par cette implantation n'a appris la chose, quasiment par hasard, qu'après l'intervention du chef de l'Etat et plusieurs heures après qu'elle ait été donnée sur ce blog ;-)


Rédigé le 24/10/09
22/10/2009

L'armée de terre va recevoir 76 postes de tirs de missiles américains Javelin

Comme nous l'indiquions sur ce blog dès le 30 septembre, l'armée de terre va recevoir des missiles antichar Javelin de fabrication américaine pour ses troupes déployées en Afghanistan. Lors de son audition par les députés de la commission de la Défense, le 14 octobre, le général Elrick Irastoza, chef d'état-major de l'armée de terre (cemat), a précisé qu'il s'agirait de 76 postes de tirs et de 380 missiles, soit 5 missiles par poste de tir.
Il s'agit, selon le Cemat, d'une "solution relais" en attendant que l'industrie française, en l'occurence MBDA (groupe EADS) développe un successeur du Milan, en coopération avec un industriel étranger, américain ou israélien.
"Le missile Milan vieillit mal, mais il donne toujours satisfaction. C’est pourquoi nous essayons de le maintenir pour le prolonger jusqu’en 2015 voire 2017 (...).
D’ici là, j’ai obligation de donner à mes soldats l’engin qui leur permette de remplir leurs missions dans les meilleures conditions, c’est-à-dire un matériel qui autorise de tirer en espace clos, semi-clos ou contraint et, surtout, de quitter la position de tir une fois le missile parti. En effet, le missile filoguidé dont nous sommes dotés implique de rester vingt secondes derrière un poste de tir non abrité",
a ajouté le Cemat.


Rédigé le 22/10/2009
21/10/2009


la Légion étrangère n'aura pas sa propre base de défense

Présentant à la presse le premier retour d'expérience des Bases de Défense (BdD), le ministre de la défense Hervé Morin a affirmé ce mercredi qu'il n'était "pertinent" que la Légion étrangère ait, comme elle le souhaitait vivement, sa propre Base de défense dans le sud-est de la France. Ses unités seront "intégrées à celle de Marseille" a tranché le ministre. La Légion risque ainsi de perdre une partie de son autonomie de gestion, en particulier pour l'administration très spécifique de son personnel.
Ces BdD ne sont pas des bases au sens traditionnel du terme, mais bien plutôt des "circonscriptions d’administration militaire à laquelle sont rattachés les régiments et unités qui y sont stationnés" selon la définition du chef d'état-major de l'armée de terre.
Des civils aux commandes
Ce système sera généralisé dès le 1er janvier 2011, le ministre souhaitant réduire la période de transition qui devait s'étendre jusqu'en 2014. S'il reconnait l'existence d'"inquiétudes dans le personnel", Hervé Morin estime que "l'expérimentation confirme que notre schéma s'avère pertinent".
Le ministre a, par ailleurs, confirmé que le nombre de BdD serait réduit de 90 (projet initial) à un chiffre compris entre 60 et 70. Les Groupes de soutien des BdD pourront être commandés par des civils, fonctionnaires de catégorie A. Ce sera le cas de trois d'entre elles dès 2010. Cette formule sera développé "autant que possible" a assuré Hervé Morin.
Enfin, la création des BdD ne sera pas conséquence sur l'organisation territoriale de la Défense. Des expérimentations vont être menées à Rennes et à Lyon.

Rédigé le 21/10/2009

"Je m'oppose formellement à ce que le nom de Jeanne d'Arc..."

Le chef d'état-major de la Marine nationale, l'amiral Pierre-François Forissier, a été très clair : "Je m'oppose formellement à ce que le nom de Jeanne d'Arc soit donné à un nouveau bâtiment" après le retrait prochain de l'actuelle Jeanne d'Arc. Comme nous le rapportions ici, l'hypothèse de baptiser ainsi le troisième Bâtiment de projection et de commandement (BPC) fait l'objet de vives discussions.
Si c'était le cas, a expliqué l'amiral Forissier aux députés de la commission de la Défense, "il finirait par être dédié uniquement à la fonction "école". Or " nous n'avons plus les moyens d'affecter un bâtiment de combat à la fonction "école". A l'heure actuelle, un porte-hélicoptères d'assaut tel que la Jeanne d'Arc doit être intégré dans les forces opérationnelles".
"La mission remplie par la Jeanne d'Arc perdurera : les missions de formation réalisées par le Tonnerre, puis d'autres bateaux, continueront à s'appeler "campagnes de formation Jeanne d'Arc"" a indiqué l'amiral.


Rédigé le 21/10/2009

Un porte-avions avec les Britanniques ? L'idée est bien enterrée

"Nous ne sommes plus liés aux Britanniques" au sujet de la construction d'un futur porte-avions, a confié le chef d'état-major de la marine, l'amiral Forissier lors de son audition par les députés de la commission de la Défense. On s'en doutait un peu depuis que le projet d'un second porte-avions français n'avait pas été inscrit dans la loi de programmation militaire 2009-14.
Toutefois, les choses n'avaient jamais été exprimées avec une telle clarté.

C'est la perspective d'une coopération industrielle avec les Britanniques qui avait poussé le président Jacques Chirac à opter pour un bâtiment à propulsion classique plutôt que nucléaire.




Rédigé le 21/10/2009
20/10/2009


Avarie du Charles-de-Gaulle : la Marine est passée à côté d'une "catastrophe"

L'avarie mécanique à bord du porte-avions Charles-de-Gaulle, dont nous avions révélé l'existence en mars dernier, était plus sérieuse que nous l'avions cru. C'est en tout cas ce que l'amiral Pierre-François Forissier, chef d'état-major de la marine nationale, a confié aux députés de la commission de la Défense, qui l'auditionnaient la semaine dernière [Le compte-rendu intégral est ici]. "La détection rapide du problème (...) a permis d'éviter la catastrophe : cet incident aurait pu causer des avaries considérables et faire des victimes humaines. D'une
certaine façon, nous avons eu de la chance dans notre malheur".

Cette avarie sur la ligne d'arbre du porte-avions a immobilisé le Charles-de-Gaulle pendant six mois, ce "qui a beaucoup perturbé la remontée en puissance du groupe aéronaval et la requalification des pilotes".
Quant à l'origine du problème, il résulte de "la conjonction d'un sous-dimensionnement au moment de la conception et d'une erreur de fabrication de la pièce de rechange installée pendant l'IPER" (indisponibilité périodique pour entretien et réparation) dont sortait le bateau.


Rédigé le 20/10/2009

Les exportations françaises d'armement sont en déclin

Revenant sur le récent rapport sur les exportations françaises d'armement, Jean-Paul Hébert, chercheur à l'Ecole des hautes études en sciences sociales et expert des ventes d'armes, pointe le fait que "si le montant des commandes 2008 est le plus élevé depuis l’année 2000, le montant des livraisons en revanche (3,173 milliards d’euros) est le plus bas depuis 1971.
(...) Le lent glissement des exportations françaises n’est pas enrayé"

ajoute-t-il dans un texte que l'on peut lire ici.



Rédigé le 20/10/2009

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