14 juillet. Un saut mémorable pour Le lieutenant Isabelle Roth de la 11e brigade parachutiste de Toulouse

Publié le 19/07/2009 11:21 | Ornella Bersanetti14 juillet. Un saut mémorable pour Le lieutenant Isabelle Roth de la 11e brigade parachutiste de Toulouse

14-Juillet. Le lieutenant Isabelle Roth de la 11e brigade parachutiste de Toulouse a sauté sur Paris.




Le lieutenant Isabelle Roth a été félicitée par le président de la République en personne : « Vous devez être fière ». Photo ECPAD

Lors de la cérémonie du 14-Juillet à Paris, ils étaient huit parachutistes confirmés à s'élancer d'une hauteur de 1 200 mètres pour se déposer au pied de la tribune officielle. Parmi eux, se trouvait le lieutenant Isabelle Roth, une habitante d'Eaunes âgée de 34 ans, officier communication du général commandant la 11e brigade parachutiste de Toulouse.

Honneur et concentration

« C'était un grand honneur de participer à ce saut, » explique le lieutenant Roth, « cet événement est très important et il était primordial d'avoir une forte concentration. » « Vous devez être fière de ce que vous avez fait », lui a glissé le président Sarkozy, en la félicitant.
Les huit parachutistes sélectionnés ont dû se soumettre à 15 jours d'entraînement, nécessaires à une bonne coordination du saut.« Nous ne nous connaissions pas et il fallait se régler les uns par rapport aux autres pour se placer à tour de rôle durant le saut », précise le lieutenant. La parachutiste s'est posée en quatrième position avec le drapeau européen.
« Je dois surtout remercier mes chefs qui ont pensé à moi pour ce saut, ils m'ont permis de vivre une expérience formidable », poursuit le lieutenant. Pour cette parachutiste confirmée, tant sur un plan civil que militaire, cette participation fut toute particulière.
« Quand la porte de l'engin s'est ouverte, j'ai ressenti beaucoup d'émotion, c'était l'aboutissement de notre entraînement », témoigne-t-elle. Pour sa famille, c'était une réelle surprise de la voir participer à ce saut.
« J'ai tenu à les avertir seulement 30 minutes avant mon saut », explique-t-elle, « même mon petit garçon de 17 mois a regardé sa maman sauter depuis le téléviseur ». Pour elle, concilier vie de famille et vie professionnelle ne relève pas forcément du défi. « Mon métier nécessite un grand investissement personnel et prend beaucoup de mon temps », témoigne la militaire, « mais ce n'est pas plus difficile pour moi que pour toutes les autres femmes actives ».
Après des études de droit public poursuivies à Metz, elle suit son mari, militaire, à Toulouse et intègre l'armée en 2001, à l'âge de 26 ans.« Ce choix nécessite une grande faculté d'adaptation, mais je suis très heureuse de faire ce métier », conclut la parachutiste.

Bonjours a tous
J'ai connu un sergent chef,qui se nommai:ROTH,je ne me rappelle plus de son prénom.
C'était pendant mon PEG au 9 éme RCP a la caserne NIEL de TOULOUSE,de début février 1979 a fin mars 1979.
Il fessait parti de l'encadrement du peloton d'éléve gradés.
Il avait un record(je crois bien de la 11DP)a l'époque,:12,5 km en treillis,rangers,sacs a dos de 12 kg en 55 mn,le diplome de cette performance était dans le bureau de notre chef de section PEG,qui se nommai,le lieutenant Ospital(décédé dans l'attentat du DRAKKAR en 1983,que saint michel veille sur lui, et les 57 autres Paras;Morts pour la liberté)
Peut étre y a t'il un lien de parenté,entre eux;
Salutations