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 Rétrospective de mes 30 mois passé au 9

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guy
avellaneda
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avellaneda
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MessageSujet: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMar 14 Sep 2010 - 15:49

Voici un texte écris il y a 3 ans qui relate mon vécu au sein de ce beau régiment malheureusement disparu.
Il peut y avoir quelques oublis mais 53 années ont passées.

Voilà bientôt 50 ans, le8/11/1957, j’ai embarqué à Alger avec une vingtaine d’appelés natifs d’Algérie, direction Montauban via Port-Vendres, au C.I du 9ème RCP caserne Doumerc commandé alors par le colonel Deu. Après une traversée mouvementée, nous avons rejoint notre destination le 10/11/57, une bonne semaine après l’incorporation de nos camarades métropolitains de la 57 2 B, à la 2ème Cie sous les ordres du capitaine Lavrat.
En fonction de notre formation nous avons été orientés vers des sections différentes et pour moi ce sera le PEG1 avec pour encadrement l’ A/C Guillaume, les sergents Olivier et Véron et les caporaux Descamps et Caillaux. Ensuite passage au Sce du Matériel pour toucher notre paquetage et direction le salon de coiffure pour la coupe réglementaire et rasage obligatoire de la moustache. Le contenu du paquetage affichait alors la précarité de l’armée française ; nous étions dotés de treillis délavés et usés jusqu’à la corde qui avaient déjà fait la campagne 39/45 et l’Indo, et surtout nous avions encore les brodequins à clous, véritable torture pour nos pieds. Notre béret était bleu car la différence existait alors entre la « Métro » et la « Colo ».
Notre terrain de jeu a été pendant quelques mois, Monbéton proche de la caserne et bien sûr le camp de Caylus pour des séjours plus longs et plus difficiles dans le froid et la neige, pour apprendre le métier des armes et nous préparer à affronter la rébellion en Algérie ; marches de jour comme de nuit, tirs, parcours du combattant, exercices physiques, maniements d’armes, tests pour avoir la joie de participer au stage de saut, tout cela fut notre quotidien de novembre 57 à début avril 58.
Bien sûr en février le stage de saut, suprême récompense, nous amena à la Betap à Pau au camp d’Idron, où seulement 2 ou 3 camarades furent recalés, car réfractaires à la fameuse tour, et rejoignirent ensuite des régiments non paras.
En avril 58 après les permes accordées, la Cie, coiffée alors du béret rouge mis le cap sur Marseille pour embarquer le 16 sur l’ El Mansour, après une nuit au camp Ste Marthe, où les puces s’en donnèrent à cœur joie. Le 17, arrivée à Philippeville puis le train direction Souk-Ahras pour rejoindre le 9 le 18 avril. Toute la Cie fut dispatchée dans le régiment qui avait à ce moment là l’organigramme suivant :
4 compagnies de combat : 1ère Cie ( Bleu ) 2ème Cie ( Amarante ) 3ème Cie ( Jaune ) et 4ème Cie ( Vert )
1 compagnie portée CP ( Blanc ) 1 compagnie d’appui CA ( Rouge ) et enfin la CCS avec le Commando
Le tout sous le commandement du Lt Colonel Buchoud.
Pendant une semaine tous les nouveaux arrivants ont crapahuté dans leurs Cies respectives mais sans être intégré aux anciens, pour une adaptation au terrain, au climat déjà chaud en ce mois d’avril, et aux conditions réelles de combat. Pour ma part j’ai donc été affecté à la 4ème Cie sous les ordres du Lt Lefur. Au cours de cette semaine d’entraînement un incident assez grave a eu lieu ; le chasseur Bonici affecté à la 3ème Cie, lors d’un rassemblement, lâcha accidentellement une rafale de Mat 49 et blessa grièvement un camarade qui fut aussitôt rapatrié sanitaire sur la France mais qui depuis s’en est remis. En punition le chasseur Bonici fut privé de sa Mat 49 et reçu à la place un Mas 36. Quelques jours plus tard il sera tué à la bataille de S.A mais aura une conduite exemplaire au combat et sera cité, dans son allocution, par le Lt Colonel Buchoud lors des obsèques de nos camarades de combat le 2 mai 58.
Donc arrivés au 9ème RCP le 18 avril et après une semaine de mise en condition, notre intégration au régiment se fait par un départ en opération vers Sédrata une localité à environ 50 kms de S.A ; nous bivouaquons dans les ruines romaines de Khémissa où chaque fois que nous sommes en repos, nous remettons en état un ancien vestige de bassin avec une source abondante ce qui nous permettra d’avoir une piscine plus que correcte où nous aurons le plaisir de nager et de nous rafraîchir très agréablement.
Mais ce moment sera de courte durée, nous sommes le 28 avril et le régiment sera mis en état d’alerte sur les lieux mêmes de Khémissa. La 3ème Cie du capitaine Beaumont étant de jour c’est elle qui partira en premier et sera héliportée sur le Mouadjène vers 16 heures. Les autres Cies étions en alerte dans les camions quand les premiers tirs très denses et très nourris ont commencé à se faire entendre. La 4ème Cie a été amenée par camion sur la route de Sédrata et là nous avons débarqué très rapidement. Le Mouadjène se situait en face de cette route mais il y avait là une profonde dépression, escarpée et pas facile d’accès qu’il a fallu descendre puis traverser un oued et ensuite remonter sur l’autre versant pour gravir le Mouadjène en terrain difficile couvert de buissons épineux et de lentisques, tout cela au pas de gymnastique et toujours en bruit de fond, les nombreuses rafales d’armes automatiques et les explosions de grenades.
A mi-chemin de cette montée, nous avons croisé les survivants de la 3ème Cie qui redescendaient vers l’oued en portant pour certains des camarades blessés, et nous avons su par la suite qu’ils avaient pu se dégager et se replier grâce à l’intervention héliportée de la 2ème Cie du capitaine Guéguen . La plupart d’entre eux avaient épuisé leurs munitions et certains voulaient remonter pour aller chercher leur capitaine et leurs camarades. Le bruit de la bataille se faisait toujours entendre et enfin nous sommes arrivés en haut de ce piton qui débouchait sur une étendue assez plane couverte d’une végétation pas très haute mais dense. La nuit nous a alors surpris et nous avons stoppé notre progression ; nous nous sommes déployés en silence, avons préparé nos postes de combat et puis silence radio, pas de feu, pas de cigarettes et surtout une grande vigilance qui nous a tenu éveillés toute la nuit. De temps à autre une rafale de traçantes ou une fusée éclairante dans le ciel.
Aux premières lueurs du jour nous avons fait mouvement et après quelques minutes de marche nous avons atteint les lieux de l’embuscade où l’air était encore chargé d’odeur de poudre. Là nous avons découvert les corps de nos camarades ; pour les quelques-uns que j’ai pu apercevoir, ils étaient tous en sous-vêtements, les fells avaient récupérés armes et bagages, tenues camouflées, rangers, casques. Les malheureux avaient été rafalés à bout portant car ils portaient des impacts de balles sur le torse et le visage, par contre je ne crois pas que les fells avaient eu le temps de les supplicier car la 2ème Cie leur était tombée sur le dos assez rapidement.
Pendant encore un jour ou deux nous avons pris en chasse les survivants de la katiba aidés pour cette tâche par le 1er REP et le 14ème RCP ainsi que par les T6 qui straffaient sans arrêt, et ce n’est que plus tard que nous avons pris connaissance de l’importance du bilan. Bilan hélas tragique et lourd pour la 3ème Cie et ce malgré la mise hors de combat de plus de 600 rebelles. Puis nous sommes rentrés sur Souk-Ahras pour aller accompagner nos 32 camarades dans leur dernier bivouac et les assurer de notre amitié de frères d’armes. Ce sera pour mes camarades et moi le baptême du feu de la classe 57 2 B ou 8 des nôtres seront tombés après seulement 10 jours de présence en Algérie.
Ensuite il a fallu remettre en état de marche le régiment et surtout la 3ème Cie qui avait besoin d’un apport de personnel pour compenser les pertes subies au cours de cette terrible bataille. Comme d’autres camarades je fus donc affecté à la 3ème Cie et je me retrouvais à la première section sous les ordres du S/Lt Campanini et basé à la ferme Revillard pour ceux qui se souviennent. Un mois plus tard je refaisais mes bagages pour rejoindre le Commando cette fois et effectuer le PEG2 ; quelques opérations avec le régiment puis nous voilà détachés à Bône pendant un mois, charger de faire du maintien de l’ordre, rassurer les populations par notre présence sur le terrain tout en effectuant notre formation ; nous étions logés en dur au stade des Lauriers Roses dans un quartier de Bône.
Enfin le retour à la 3ème Cie et les nombreuses opérations, embuscades, bouclages et crapahuts de jour comme de nuit, sur la Médjerda,le Bec de Canard, Ghardimaou, Laverdure, Bir Mokkadem, La Robertsau, Medjez-Sfa, Morsott, Zarouria, Gastu, Combes, Aïn-Beïda, le mont Chélia, Jemmapes, Sakiet, Kef el Aks, Aïn Mlila, Kef el Mekhène où j’obtiendrais une citation à l’ordre du régiment, des noms qui rappelleront des souvenirs à tous ceux qui étaient là à cette période.
Octobre 1958 fut le mois où j’obtenais ma nomination au grade de caporal et surtout ma première permission après presque une année parti de chez moi ; grande joie pour moi de pouvoir aller embrasser ma famille près d’Alger.
Retour ensuite chez les « jaunes « du 9 à S.A pour continuer notre tâche, c'est-à-dire empêcher le passage des rebelles venant de Tunisie et élimination des bandes qui sévissaient sur le territoire, semant tristesse et désolation.
L’année 1959 arriva avec le départ du Lt Colonel Buchoud, remplacé par le non moins prestigieux Lt Colonel Bréchignac et ayant toutes les qualités pour continuer la tâche de son illustre prédécesseur. Le régiment sur les dents depuis déjà très longtemps obtint alors la permission d’aller en repos à Philippeville au camp Jeanne d’Arc pour une quinzaine de jours afin de souffler un peu et aussi permettre au personnel d’effectuer les sauts nécessaires à la mise à jour du carnet de vol . Au retour nous avons fait halte à Constantine quelques jours afin de montrer notre présence sur le terrain, rassurer les populations, et éventuellement dissuader certains de commettre des attentats meurtriers.
La routine opérationnelle se remit en route à notre retour à S.A jusqu’au début avril 59 où le régiment quitta définitivement le secteur de S.A pour s’installer plus au Sud à Elma el Abiod quelques kms après Tébessa, début du désert où les conditions de vie allaient devenir plus délicates. Je reçus ma nomination au grade de caporal chef et presque en même temps mon ordre de route pour le C.I à Montauban et le 20/4/59 j’embarquais à Bône sur l’El Djezaïr pour Marseille. Arrivé au quartier Doumerc je fus affecté au Sce du Matériel sous les ordres du Lt Pilot et du major Douge. Le 1er Juillet j’accédais au grade de sergent et jusqu’à ma libération le 5/3/60 je m’occupais de la dotation vestimentaire des nouvelles recrues, de l’entretien de l’habillement, des dotations des officiers et sous-officiers du quartier.
Je rentrais alors chez moi en Algérie sans penser que deux ans plus tard, malgré une victoire flagrante sur le terrain de l’armée française, une décision politique nous obligerait à quitter ce pays.

Je tiens à saluer la mémoire de tous nos camarades tombés au combat sous les couleurs du 9 et particulièrement les 8 de la 57 2 B ainsi que le caporal Caillaux l’un de nos instructeurs.
Je voudrais également citer mes camarades Bonici Armand, Di Méglio Gérard, Font Serge et Trumpf Norbert, natifs comme moi d’Algérie et dont la seule consolation pour eux est de reposer pour toujours dans une terre qu’ils ont tant aimée.

La dissolution du 9ème RCP a été très dure à accepter pour la plupart d’entre nous car nous lui avons donné nos plus belles années et jusqu’à la mort nous lui resterons fidèles.

Avellanéda Yves
Brevet n° 137950


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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMer 15 Sep 2010 - 2:54

Merci Avellaneda pour ce récit sur ton passage au 9° RCP. C' est grace à vous et par les actions que vous avez menés au sein de ce régiment et dont vous avez su transmettre aux plus jeunes les traditions, que le 9° RCP reste et restera(même s'il n'est plus ) un grand et beau régiment dans le coeurs de ceux qui y ont fait leur service.
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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMer 15 Sep 2010 - 15:29

Merci Guy pour ces quelques mots, mais le grand 9 a été modelé par plusieurs générations de jeunes et braves garçons dans des conditions différentes mais tout autant difficiles.
Notre seul avantage est de l'avoir fait au tout début de sa création et pendant la guerre d'Algérie.
Tous ceux qui pendant 45 ans ont évolués au sein du 9 ont mis tout leur coeur et leur savoir faire afin que ce régiment soit au niveau des meilleurs et je crois bien que nous avons réussi.
C'est pour celà que notre regret est encore plus grand qu'il ne soit plus là aujourd'hui.
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GeORGES
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MessageSujet: Aux anciens du 9 ème RCP   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMar 30 Nov 2010 - 18:52

Bonjour à toi, ancien du 9ème RCP

Depuis très longtemps après de nombreuses recherches sur internet j'ai enfin retrouvé des faits que j'avais vécu durant mon séjour au 9ème RCP, juste après la bataille de Souk-Ahras, c'est à dire en août 58. . (brevet 133812 classe 57 1C). Après mes classes au I8ème à Idron,j'étais affecté à la Betap au mess des sous-officiers. Après un stage de revalorisation au pied des Pyrénées au sud de Pau durant quinze jours, j'ai reçu ma mutation au 9ème RCP à la compagnie portée (Blanc) et mon départ sur le Chanzy pour Alger.
C'est au cours d'une opération avec le 2ème REP, au-dela de la frontière Tunisienne(Djebel HARRABA) que le capitaine Barrès (petit-fils de l'écrivain Maurice Barrès) trouva la mort à la tête de ses hommes, ceci pas très loin du lieu où je me trouvais.
J'étais aussi présent à Morsott où les B 26 "straffaient" au-dessus de nos têtes, Guelma, Le Kef, Jemmapes, Ain Zerga, le Bec de Canard et également Elma el Abiot. De cet endroit nous partions en opération jusqu'a la limite de la frontière tunisienne où la Légion avait construit un fort qui par la suite avait été évacué après la construction du barrage électrifié. J'étais chef de voiture sur jeep armée, malheureusement après avoir été libéré le 10 novembre 1969, mon successeur a trouvé la mort dans une embuscade vers Collo quinze jours après mon départ.

Le plus surprenant, quatre années plus tard ma situation professionnelle m'amena de nouveau vers ce fort mais vu depuis la Tunisie où j'effectuais un forage pour le compte d'une société française, ce fort était occupé de nouveau par l'armée algérienne depuis l'indépendance. Un kilomètre en amont de la frontière, en territoire tunisien, mon guide me conduisit vers l'emplacement d'un ancien camp enterré qu'occupait le FLN !
De toutes ces anecdotes, ce dont je me souviens c'est du parfait encadrement de nos commandants de compagnie, c'était un magnifique régiment.
Ma citation est signée du Lieutenant Colonel Bréchignac.

Merci à toi.
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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMar 30 Nov 2010 - 20:00

Bravo et merci les anciens!

C'est un grand plaisir de revivre par ces lignes votre passage au 9e RCP.

C'est avec un peu d'émotion que je les ai lu, nous les jeunes seront toujours présent pour vous rendre honneur.

Georges, rejoins notre fratrie en t'inscrivant sur le forum, on te connais déjà presque en totalité: ton pseudo, ta classe, le n° de brevet et le régiment, il ne te reste plus que la dernière formalité.
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SF
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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMar 30 Nov 2010 - 22:19

Merci pour ce témoignage !

Ces Officiers dont nous connaissons l'histoire, ces lieux dont les noms sont évoqués dans bien des récits, revivent au travers de vos récits.
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claude millet
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claude millet



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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMar 30 Nov 2010 - 23:18

Un plongeons dans notre Mémoire Parachutiste...!
Quelle émotion Messieurs, mes chers camarades.

N'hésitez pas à nous faire vivre des bribes de votre passé opérationnel.

Soyez sûr que nous y serons attentif...!
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SF
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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMer 1 Déc 2010 - 9:22

Dans le topic consacré au LT Colonel Bréchignac, il n'y a qu'une seule photo ! J'en ai deux ou trois de taille moyenne mais en compagnie de "Bruno" qui l'appelait affectueusement "La Brèche" comme vous le savez certainement...

Si l'un de vous avait d'autres clichés, ils seraient les bienvenus poour d'éventuels montages.
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MessageSujet: Le 9e RCP en Agérie rconté par ses anciens   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 EmptyMer 1 Déc 2010 - 23:06

Le 9e RCP en Agérie raconté par ses anciens

Merci à nos anciens!
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MessageSujet: Re: Rétrospective de mes 30 mois passé au 9   Rétrospective de mes 30 mois passé au 9 Empty

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