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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
 
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 Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?

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Fombecto
FOUQUET66
jojo 81/06
jacky alaux
Michel CAVET
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Michel CAVET
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Michel CAVET



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MessageSujet: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 11:18

Bonjour, je me lâche !
Hier Am, nous sommes partis à quad et avons fait au moins 80 km dans la Nature, histoire de s'aérer un peu.
Franchis la Loire et passés dans le désert du Cher, les étendues de cultures sont rentrées, hé bien, plus je roulais vite plus la bouffée de chaleur nous frappait, comme quoi sur ces étendues rasées la chaleur est bien installée. Plus rien pour préserver un peu d'ombre ni couper le vent.
Grande différence avec notre côté de la Loire (Nièvre), où bien que tout soit cramé par le soleil, il y a majorité d'élevage, on retrouve un peu de fraîcheur grâce aux haies et arbres conservés, une vraie désolation quand même pour les vaches qui n'ont plus grand chose à manger, pratiquement toutes nourries au foin. Réchauffement climatique normal c'est planétaire et incontrôlable, mais connerie des céréaliers c'est certain, à 30 km près on sent la différence.
Regardons un peu les erreurs commises par les américains dans les années 20 à 40, (on nous en parlait à l'école il y a 60 ans,  maintenant silence radio, ce serait le carbone, l'ozone et autres pets de vache). Aux USA, ils ont tout désertifié pour une culture à outrance, hé bien ils sont encore plus cuits que nous, et cela depuis le développement de leur culture transgénique d'aujourd'hui.
Le drame pour nous petits  français, victimes aussi des zones déboisées à outrance, sommes une fois de plus trop cons  pour tirer les enseignements des erreurs des autres, à commencer par prendre en considération une chose simple, naturelle, non frelatée, trop souvent oubliée, à savoir la diminution de la fonction chlorophyllienne en France  du fait d'une désertification agricole subventionnée avec nos sous.(aussi dans le monde entier, mais on en parle que lorsque les merdias veulent attaquer le lobby de l'huile de palme, sinon .... )
Tout ça pour favoriser une agriculture déjà excédentaire, donc vendant à perte, >>> compensée par subventions européennes prélevées sur nos impôts. Mais le beu-beu moyen de français préfère les jeux, le masturbings smartphonisé, le connecté à quoi ? Va savoir, toujours pas à la réalité des choses, préférant se contenter de gober, répéter, colporter, amplifier les mensonges volontaires diffusés par les trompeurs nationaux, je veux parler des journalopes dont les portefeuilles  sont devenus des mille feuilles, tout comme leur c....................l : réchauffés à coups de carbone.

Juvénal parlant des souhaits du peuple a écrit dans une euphorique période romaine d'avant JC : "Panem et circenses" (le peuple réclame du pain et des jeux)

Quelle prémonition, nous sommes bel et bien rendu 2200 ans en arrière à une ère césarienne sans anesthésie : Les français  ont maintenant ce qu’ils souhaitaient : les restos su cœur, des aides, des subventions avec des smartphones et autres machines  pour meubler le temps libre tout en leur paluchant les neurones, les rendant aveugles et sourds aux magouilles gouvernementales.
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https://campingcar.forumactif.org
jacky alaux
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jacky alaux



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 17:04


Bravo ! Michel , C'est tellement vrais ce que tu dénonces … Continu de te fâcher, moi j'adore ca !
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jojo 81/06
confirmé
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jojo 81/06



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 17:59

Bravo , bien écrit et tellement vrai ,ça fait du bien de se lâcher de temps en temps .
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FOUQUET66
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FOUQUET66



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 18:34

Vous avez dit canicule?



Quoi de mieux, en cette fin de canicule, que de rester cloitré au frais (soit 25°) et de se mettre devant son ordinateur à la recherche d'informations sur le sujet, c'est à dire de ne pas se contenter uniquement des médias !

Voilà ce que l'on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet....1852 ! Vous pouvez trouver le fac simulé sur internet.





" En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied. En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des oeufs dans le sable. En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.



En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur. En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied. En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées. En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe. En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas. En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau. Les mêmes évènements se reproduisirent au XVIIIe siècle. En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre . Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur ( 45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes. En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives. En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes. En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C. En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet. En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés. En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés".

Il s'agit bien d'un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Je vous mets en pièce jointe l'interview de l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et rediffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts ! Libération précise que son livre "Histoire du climat depuis l'an mil" (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur... Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l'éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d'aujourd'hui. Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 €. A ce prix là, il ne faut pas se priver de s'instruire.

Libération, serait donc devenu complice des climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l'importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d'origine anthropique ? Ceux qui font remarquer qu'à une époque où il n'y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l'on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sècheresses catastrophiques, entrainant des centaines de milliers de morts...

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu'on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?

C'est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l'évidence il n'y a rien de nouveau sous le soleil !

PS : amusez-vous à taper "sècheresse 1718" sur Google et vous en saurez beaucoup plus. A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n'a encore jamais eu d'antécédents, car provoqué par l'activité humaine.


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http://www.legionetrangere.fr/
Fombecto
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Fombecto



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 20:18

Les médias nous disent "canicule"...!


Citation :
Les grands étés en France : 1135 - 1800

   
1135. — « Il fit si grand chaud que la terre brûlait en divers endroits de la France. »
1137. — Dans les régions septentrionales et centrales de la France, sécheresse d'une durée de sept mois (mars à septembre), accompagnée en juillet et août d.e chaleurs terribles.
1176. — La sécheresse provoque une disette générale dans tout le Centre.
1179. — La sécheresse est si forte dans le Quercy que le lin n'y donne aucun produit.  Le prix d'une chemise s'éleva alors de 9 à 24 deniers ».
1183. — Par suite des chaleurs torrides, les vendanges commencent dans l'Est dès la fin de juillet.
1187. — La chaleur et la sécheresse extraordinaires de cet été provoquent « un embrasement général de la ville de Chartres ».
1225. — La sécheresse extrême qui sévit dans le Centre provoque une récolte des blés presque nulle et occasionne la chute avant maturité de la plupart des fruits.
1228. — En Alsace, la moisson est terminée au début de juillet grâce au temps très chaud des semaines précédentes.
1232. — La chaleur est si forte dans l'Est que « dans les mois de juillet et d'août les œufs y cuisaient dans le sable ».
1268. — Dans les environs de Colmar, on note des températures très élevées avec une absence totale de pluie « pendant douze semaines, de la fête de Saint-Mathias jusqu'à celle des Sept Frères ». Ces conditions atmosphériques furent cause d'une telle abondance de fruits que de nombreux arbres s'en trouvèrent brisés.
1277. — Sécheresse excessive dans le Nord et le Centre : les puits et fontaines tarissent tandis que les ruisseaux cessent de couler.
1282. — « En Alsace, les pauvres mangeaient du blé nouveau deux semaines avant la fête de Saint-Jean-Baptiste (24 juin) et des potirons à la Sainte-Marguerite (20 juillet). La vendange eut lieu avant la fête de la Sainte-Croix (14 septembre). »
1293. — Par suite de l'été chaud et sec, le vin dans l'Est est remarquablement bon et abondant.
1297. — A Colmar, les raisins sont mûrs à la Saint-Dominique (4 août).
1303. — Année exceptionnellement chaude et peu pluvieuse. La Seine, l'Oise et la Loire sont à sec. « En Alsace, on voyait des raisins mûrs à la Saint-Jean. Les cours d'eau étaient tellement desséchés que ceux qui faisaient tourner deux roues de moulins pouvaient à peine en mouvoir une, ce qui fit que, malgré l'abondance du blé, le pain se vendait cher. Par suite des chaleurs excessives, le Rhin était assez bas entre Strasbourg et Bâle pour qu'en beaucoup d'endroits on pût le traverser à pied. Dans cette région, la chaleur fut si intense que les charretiers conduisaient tout nus leurs voitures chargées par les campagnes. »
1305. — Très grande sécheresse pendant l'été.
1314. — Eté très sec avec treize semaines sans pluie dans l'Est. Les céréales se dessèchent. H en résulte une grande-disette et la peste.
1338. — Sécheresse intense et de longue durée dans le Centre.
1343. — Chaleur si forte pendant l'été que, dans l'Est, les moissons se dessèchent dans les champs.
1358. — La chaleur est si forte dans l'Est que les raisins sont grillés dans les vignes.
1420. — Année très chaude en Lorraine où les fraises sont mûres dès le 19 avril, les cerises le 9 mai et les raisins le 18 juin; le 22 juillet on boit du vin nouveau.
1422. — Dans la région parisienne et en Champagne, on vendange à la fin d'août.
1442. — On vendange dans l'Est le 7 septembre.
1458. — H ne tombe aucune pluie dans l'Est, d'avril jusqu'à la mi-octobre.
 
1463. — Sécheresse remarquable dans le Nord : aussi dès. la fin de juin fait-on dans cette région de nombreuses processions pour demander de la pluie.
1467. — Eté très sec dans l'Est où le vin est abondant et très bon.
1473, 1476 et 1479. — En chacune de ces années, les chaleurs de l'été sont mentionnées comme « extraordinaires, terribles et intolérables ». La sécheresse de 1473 dura plusieurs mois et, au dire des historiens, « s'étendit à presque toute la Terre »; en cette année à Dijon on vendangea le 20 août.
1483. — Dans l'Est, l'été est tellement chaud qu'on y fait deux vendanges, « la seconde après la Saint-Rémy ».
1493. — Les chaleurs excessives de juillet et d'août réduisent la Moselle à Metz à n'être plus qu'un ruisseau.
1504. — Dans l'Est et le Sud-est, chaleur et sécheresse remarquables : « ciel de cuivre et terre de feu ». De toutes les montagnes voisines du Rhône, le bétail est obligé de descendre boire au fleuve. Dans le Lyonnais, on organise des processions blanches, ainsi appelées parce que les pèlerins qui y prenaient part étaient affublés d'un linceul blanc.
1513. — « L'été fut si sec qu'il fut trois mois sans pleuvoir. »
1516. — Les chaleurs de l'été assèchent presque complètement les rivières de l'Est.
1518. — Le pays chartrain fut menacé de stérilité par une sécheresse et une chaleur extraordinaires.
1534. — La sécheresse contraint les moulins du Sud-ouest à s'arrêter. En juin et juillet, la plupart des herbages et des vignes de cette région se trouvent grillés.
1536. — Sécheresse et grandes chaleurs en Bretagne durant tout le printemps et l'été : « la plupart des fontaines tarissent et les grosses rivières deviennent de faibles ruisseaux ».
1540. — Par suite de sa chaleur remarquable dans toute la France, 1540 a été appelée par de nombreux chroniqueurs» soit la chaude année, soit l'année de la soilié (sécheresse). On moissonne en juin aussi bien en Bretagne que dans la Somme et en Lorraine; dans l'Est, les vendanges se font en août. On passe à pied sec toutes les rivières de l'Est, notamment le Doubs, et les moulins de la Garonne doivent s'arrêter, faute d'eau.
1545. — « Véhémentes chaleurs dans le Midi ». Grande sécheresse dans le Vendômois où pendant sept mois il n'y eut aucune pluie. Année de vin de très bonne qualité.
1547. — Dans le Vendômois, chaleur comme on n'en avait encore jamais vue. « L'année susdite fut chaude à merveille à Bourges, tellement que depuis le mois de juillet jusqu'à la fin du mois d'août on disait la grand'messe aux églises collégiales tout aussitôt après matines, à cause des chaleurs, ce que je n'avais jamais vu faire. »
1554. — « Dans le Berry furent faites plusieurs processions à cause de la grande sécheresse qu'il faisait, car il fut bien l'espace de sept mois sans pleuvoir. » Vins très bons ; pas de foin.
1556. — Grande sécheresse et fortes chaleurs à peu près générales. Dans le Vendômois « la terre ne fut point trempée de Pâques jusqu'à la Toussaint ; elle brûlait les pieds de ceux qui marchaient pieds nus. «Aucune pluie ne tombe de mars à novembre dans la Loire et d'avril à octobre dans le Cher. Bans le Berry, on commence à moissonner les blés dès la fin de mai et à vendanger au début d'août.
1559. — On vendange en Lorraine dès la fin de juillet.
1575. — Grande sécheresse dans le bassin de la Saône. Dans le Vendômois « il ne plut point de la Saint-Jean jusqu'à la Toussaint et il fit toujours chaud ».
1580. — Dans les régions méridionales, été chaud et sec auquel on attribua une maladie appelée « miquelle » (fièvre pendant plusieurs jours).
1599. — De fortes chaleurs survenues en Saintonge du 20 juin au 10 août permettent d'y terminer les vendanges à la mi-septembre. A Paris « le jeudi 5 août 1599 fut faite une procession générale à cause de la sécheresse ».
1604. — Eté et automne chauds et très secs dans l'Ouest.
1605. — La sécheresse est telle d'avril à septembre que « la plupart des rivières de France devinrent guéables ».
1612. — « L'été fut si chaud, écrit un chroniqueur de la Saintonge, que la peau de mes bras et de ma poitrine a été toute brussoiée. » Ce même caractère de chaleurs sèches est signalé dans le Nord comme ayant marqué les mois d'avril à juillet 1612.
1615. — Il n'y eut dans l'Est aucune pluie importante, depuis Pâques jusqu'à la mi-septembre.
1619. — Il fit dans le Sud-ouest « de si terribles chaleurs aux mois de juillet, août et septembre 1619 que l'on ne pouvait demeurer ni dedans ni dehors et que les vignes et raisins se séchèrent. Il n'a pas plu depuis la Saint-Marceau jusqu'à la fin de septembre, si ce n'est le 28 août. »
1622. — Grandes chaleurs dans le Centre et l'Est. Des processions pour demander la pluie ont lieu durant le mois d'août.
1623. — Cinq semaines consécutives de fortes chaleurs dans l'Est et le Sud-est. A Feurs, dans les derniers jours d'août, «la Loire n'avait plus que 33 pieds de large ».
1636. — De Pâques à la fin de juin on ne compte dans la région parisienne que deux jours de pluie seulement.
1637. — Grande sécheresse d'avril à octobre dans le Centre et le Massif Central. On vendange dès le mois d'août à Bourges et à Orléans.
1645. — Dans le Quercy, toutes les rivières et fontaines sont à sec. Dans l'Est, une sécheresse très intense empêche de moudre pendant tout le mois d'août.
1652. — Sécheresse extrême dans le Nord et l'Est. Une procession générale a heu à Amiens le 9 juin pour obtenir la fin de cette calamité.
1653 et 1654. — Dans l'Est,, étés très chauds et très secs : en 1654
1662. — Sécheresse très marquée dans tout le Nord. En de nombreuses localités de cette région, des prières publiques sont dites dans le courant de juin pour demander de la pluie.
1666. — De la mi-juillet à la mi-août sévissent dans l'Est de fortes chaleurs « rôtissant et séchant les raisins ».
1669. — Après un mois de juin extrêmement froid, juillet et août sont marqués par des chaleurs remarquables.
1676. — Aucune pluie ne tombe dans la Haute-Marne entre le 15 février et le début de novembre, sauf pendant une journée en juillet et une demi-journée en août. Cette sécheresse exceptionnelle tarit toutes les rivières et provoque la destruction d'un grand nombre de poissons.
1681. — « La sécheresse fut si grande et si générale dans toute la France qu'il n'y eut point de diocèse où les évêques et chapitres n'ordonnassent des prières publiques et des processions générales pour la conservation des biens delà terre. »
1684 et 1685. — Forte sécheresse et grandes chaleurs dans lé Centre et l'Est. « Pendant l'été de 1684, il a fait une si grande sécheresse que l'on n'a recueilli que fort peu de blé et grain de carême et quasi point de foin : jamais on n'a vu pareille sécheresse. »
1691. — Année très sèche : à Paris il ne tombe que 391 millimètres d'eau. Dans le Nord, l'été est remarquablement chaud.
1698. — Sécheresse extraordinaire en Bourgogne; vin néanmoins assez abondant.
1704. — Sécheresse et chaleurs remarquables dans le Midi et dans l'Ouest. Dans la Beauce, de nombreux moissonneurs meurent frappés d'insolation.
1705. — L'été est si chaud que «' le 6 août les thermomètres de Cassini et de la Hire sont brisés par la dilatation du liquide ». Dans le Midi, « chaleur intolérable » : à Montpellier, le 30 juillet, la chaleur égalait celle qui sort du four d'une verrerie et on faisait cuire des œufs au soleil ».
1706. — Eté très chaud et très sec dans le Nord.
1707. — Les chaleurs sont si fortes dans l'Ouest « au temps des faucheries de foin que non seulement des personnes en meurent mais même des bêtes ». Le 19 juillet, « le coche de Paris à Orléans, c'est-à-dire ceux qui étaient dans le coche, qui partirent ce matin-là d'Etampes, comptèrent quatorze chevaux morts de chaleur sur le pavé jusqu'à Orléans ».
1712. — Eté très chaud à Paris. Chaleurs et grande sécheresse dans le Midi.
1717 et 1718. — Années chaudes et très sèches. En 1718, dans l'Est, le chasselas était déjà mûr le 24 juillet.
1719. — Une des années les plus sèches et les plus chaudes qu'on ait encore vues en France. De nombreux puits sont taris. Les récoltes sont très faibles, sauf pour les vignes. Dans l'Est, « la terre desséchée est comme de la cendre et les grains brûlent sur pied ». Dans le Centre, « pas de pluie du 25 mars au 1er novembre, sauf un orage le 24 juillet : les chaleurs excessives provoquent de nombreuses morts par flux de sang ». La Seine atteint un niveau extrêmement bas, puisque dans tout le cours du 18eme siècle elle n'a présenté un niveau plus bas qu'en 1731, 1767 et 1778.
1723. — Sécheresse générale d'une durée de trois mois, qui provoque une grave disette de fourrage. Le peu de vin récolté est d'excellente qualité.
1726, 1729 et 1731. — Années généralement sèches dans toute la France, y compris le Midi. En 1731, il ne tombe à Paris que 1 millimètre d'eau en mars et 6 millimètres en avril et pour obtenir la pluie nécessaire on découvre au début de mai la châsse de sainte Geneviève; au mois de novembre de cette année le niveau de la Seine est de 13 centimètres plus bas qu'il ne l'était en 1719.

1736. — Grande sécheresse en Normandie : elle dure jusqu'à la Toussaint et rend impossibles pendant tout le mois d'octobre les semailles de blé.
1741. — L'Archevêque de Paris prescrit des prières publiques et des processions pour obtenir la fin de la sécheresse qui sévit sur la région parisienne et dans le Centre.
1742 et 1743. — Sécheresse en Bretagne et dans le bassin de la Seine : en 1743 cette sécheresse s'étend à une grande partie de l'Europe occidentale.
1751. — Dans le Sud-Ouest « après un printemps dérangé et pluvieux il vint une sécheresse extraordinaire avec grandes chaleurs qui firent périr la récolte. Les herbages manquèrent. Ce fut une année des plus critiques et des plus disetteuses. »
1757 et 1759. — Etés chauds et secs dans le Nord et l'Est. En Normandie, les mois de juin et juillet.1757 et ceux de juillet et août 1759 sont particulièrement chauds et secs. A Paris, on note des températures de 37° 5 les 14 et 20 juillet 1757.
1760, — La chaleur et la sécheresse de l'été fournissent en abondance blés, raisins et fruits.
1761, 1765, 1767, 1772, 1773 et 1783. — Sécheresse et chaleurs estivales dans l'Est et le Sud-Est. En 1767, les eaux de la Seine sont de 27 centimètres plus basses qu'en .1719. En 1772, dans le Midi, « les maïs furent semés et récoltés sans pluie, ce qui donne à la sécheresse une durée d'environ six mois ». A Paris, la température atteint 36° dès le mois de juin. Le début de l'été 1783 est caractérisé par « des brouillards secs qui n'occasionnent pas de pluie » et que certains considèrent comme une suite des tremblements de terre de la Sicile et de la Calabre. Ces brouillards secs disparaissent vers la fin de juillet : dans les jours qui suivent leurs disparition, la récolte de blé est très réduite par un échaudage général. Le temps sec se prolonge jusque vers la fin de cette année et « en décembre on nettoyait plus facilement les mares qu'on ne le fait ordinairement dans les plus longs jours ».
1762, 1764, 1766, 1771, 1778 et 1784. — Etés secs dans le Centre et toutes les régions avoisinantes. On n'y observe, en général, aucune pluie de mars à août 1762, de la mi-mai au 10 août 1764, du 20 juillet au début de novembre 1766, de la fin de juin au commencement de septembre 1771, de la mi-juillet à la mi-septembre 1778.
En Bretagne, les chaleurs et la sécheresse de 1762 détruisent entièrement la récolte de blé noir. Dans le Midi, c'est en 1762 et 1771 que le manque d'eau se fait particulièrement sentir. En 1778, les chaleurs de l'été occasionnent dans l'Yonne de nombreuses maladies, et, à Paris, la Seine est de 8 centimètres plus basse qu'elle ne l'était en 1719. En 1784 dans le Bourbonnais « sécheresse continuelle en sorte que tous les étangs, les sources et la plupart des puits étaient taries et que l'on ne pouvait moudre qu'à bras ».
1785. — Grande sécheresse dans toute la France. A Paris, le total de l'eau tombée du 1er mars au 31 mai n'atteint que 21 millimètres. En Bretagne, aucune pluie notable n'est enregistrée « entre la Toussaint 1784 et la Madeleine 1785 ». Dans la Sarthe « les bestiaux se donnent; à peine peut-on se défaire des chevaux, car on les refuse à qui les offre pour rien. On ne parle que de chiens enragés; il en est tué une quantité prodigieuse ». Il en est de même dans le Limousin où, par suite du manque de foin, les paysans abandonnent tous leurs animaux. Dans l'Ain, la disette de fourrage oblige à nourrir les ânes avec des sarments coupés dans les vignes. Au mois de mai de cette année, « la livre de beurre vaut 20 sols dans la Sarthe, 36 sols en Ile-et-Vilaine et jusqu'à 48 sols à Bourges et à Issoudun ». Par contre la récolte de vin est très abondante. Dans de nombreux diocèses, les évêques prescrivent des prières publiques pour demander de la pluie.
1788. — Sécheresse dans le Sud-ouest. Lors de sa séance du 14 mai 1788, le conseil de ville de Montauban décide d'écrire à l'évêque pour lui demander d'ordonner des prières publiques « afin d'obtenir du ciel la cessation de l'affreuse sécheresse qui règne depuis longtemps et expose les fruits de la terre aux plus grands dangers ».
1790. — L'été et l'automne sont tellement secs dans la moitié nord qu'en de nombreuses régions les vignes ne donnent presque rien; aussi le vin est-il
1793. — Dans le Loiret, chaleurs excessives de la fin de juin à la fin d'août : « les légumes séchaient sur leurs tiges, les fruits se consumaient sur les arbres, la viande se décomposait en moins d'une heure». En Champagne, chaleur et sécheresse caractérisent les mois de juillet à octobre. A Paris, on enregistre 38° 4 le 8 juillet 1793 et pendant toute cette année on ne recueille que 331 millimètres de pluie.
1795 et 1798. — Etés chauds. Récolte de vin de 1798 « de qualité merveilleuse, citée pendant 20 ans; dans le Médoc, vins pleins, corsés, veloutés ».
1799. — Dans le Languedoc, « l'été fut très chaud et sec, ainsi que la majeure partie de l'automne. Cette chaleur de l'été fit rancir la graisse et le salé dans les toutes maisons. »

DIRECTION DE LA METEOROLOGIE NATIONALE
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« A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. » Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952).
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 23 Juil 2019 - 21:51

Quant a la montée des Océans… La encore, on nous les gonfles en nous disant que c'est a cause du réchauffement de la planète observé depuis quelques décennies et que nous les humains en serions responsables . La encore de la foutaise, car c'est pas nouveau que les Océans montent. La terre est en perpétuel mouvement … La preuve: En Algérie pays ou je suis né dans les années 50 nous allions avec des cousins faire de la plongée sous marine a Tipaza située a une cinquantaine de km d'Alger, l'endroit était renommé pour venir admirer les ruines de l'ancienne ville romaine, construite en l'an 100 après Jésus Christ ( ca, c'était avant l'invasion des arabes )... Vous me direz, oui ! mais pourquoi alliez vous visiter ces vestiges avec de l'équipement de plongée ? La raison était que l'essentiel de la ville romaine ( presque intacte ) ce trouvait a environ 50 mètres sous la mer. Et oui ! la mer était montée de 50 mètres en 2100 ans. Comme il ce peut qu'elle se remette a descendre d'ici 2000 ans , qui sait ?
A propos de ces ruines romaines, elles furent protégées et entretenues du temp des Français… Je n'ose vous les décrire de nos jours... Car il faut cacher aux petits algérien, le régime FLN l'exige, que l'Algérie fut d'abord chrétienne avant d'être musulmane par la force ( A l'époque romaine, St-Augustin était un berbère )
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMer 24 Juil 2019 - 11:20

Je sais plus qui a publié la vidéo très intéressante  de l'histoire de notre planète...je ne la retrouve pas...quelqu'un peu m'aider à retrouver le lien?
Merci d'avance!
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMer 24 Juil 2019 - 11:39

Bonjour Claude,
Je ne sais s'il s'agit de cette vidéo ,mais je te donne volontiers le lien. Reçois toutes mes amitiés.
Bonne journée, Jean-Charles.

https://www.youtube.com/watch?v=MXcY8Cf6hsI


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http://www.legionetrangere.fr/
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMer 24 Juil 2019 - 12:04

Claude MILLET a écrit:
Je sais plus qui a publié la vidéo très intéressante  de l'histoire de notre planète...je ne la retrouve pas...quelqu'un peu m'aider à retrouver le lien?
Merci d'avance!

Cette vidéo peut-être ? :
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Michel CAVET
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMer 24 Juil 2019 - 12:12

Certainement celle-ci qui explique bien le comment et le pourquoi des périodes chaudes et froides. 
Si on regarde bien, les escrolos vont avoir du grain à moudre pendant un moment ....

http://www.papysauvage.fr/diapos/climat.mp4
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https://campingcar.forumactif.org
jojo 81/06
confirmé
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMer 24 Juil 2019 - 13:07

Les trois vidéo sont très intéressantes . Merci .
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Michel CAVET
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyJeu 25 Juil 2019 - 11:50

On devrait envoyer le lien de la page à Evelyne Dehlia !
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battement zéro
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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyJeu 25 Juil 2019 - 11:50

Très intéressant!

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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyJeu 25 Juil 2019 - 15:25

Merci à tous pour les liens....!
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Alerte Guépard



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyMar 20 Aoû 2019 - 12:03

Bonjour mes chers camarades,
En continuité des posts sur le climat, voilà ci-après un exposé qui mérite votre attention...

Solidarité et Progrès
Ajoutée le 14 déc. 2018
« Cette fois, il n’y a plus de doute possible, les scientifiques sont unanimes : l’être humain dérègle le climat. »
Combien de fois ces dix dernières années avons-nous entendu dire qu’un « consensus scientifique » vient enfin d’être établi sur cette question ? D’ailleurs le très officiel GIEC (Groupe d’expert intergouvernemental sur l’évolution du climat) ne vient-il pas de publier un rapport nous laissant le choix entre une catastrophe planétaire si l’humanité agit tout de suite pour sauver le climat, et la fin du monde, dans le cas contraire ?
Pourtant, François Gervais, professeur émérite de l’université François Rabelais de Tours, et examinateur du rapport AR5 du GIEC entre 2011 et 2012, vient de publier un livre intitulé, « L’urgence climatique est un leurre » et montre que s’il y a consensus, c’est plutôt médiatique et politique que scientifique.

Depuis sa dernière intervention dans nos locaux de Clichy en 2015, beaucoup d’arguments nouveaux ont été avancés pour justifier le climat de panique entretenu par le GIEC.

Nous l’avons donc invité à revenir donner une conférence suivie d’un débat, pour lui permettre d’y répondre.


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Fombecto
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Fombecto



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MessageSujet: Re: Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges?   Chaleur oui, sécheresse à qui la faute? Où se place la limite entre vérité et mensonges? EmptyDim 25 Aoû 2019 - 20:09

Cela mérite une réflexion...

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« A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. » Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952).
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