Les 2 personnages...les 2 journalistes retenu en otage!

Voilà ce qui s'appelle remettre les choses (et les gens) à leur place ! Excellent....

Merci FOMBECTO pour cette piqure de rappel
Et bravo mon Général

VOULOIR FAIRE DU ZELE !!!! TOT OU TARD SA PAYE //MB

Alors que les médias rappellent quotidiennement l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien a été créé pour leur libération, n'oublions pas également que depuis le 19 mars 1962, ( bientôt date anniversaire ) cela a fait au 31 janvier 2011, 17849 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation. Ne les oublions pas.

ANDRE C'EST BIEN CE QUI PROUVE QUE LES JOURNALEUX EN GRANDE PARTIE NE PASSENT PAS , CE QUI DOIT SE SAVOIR OU BIEN DE LA MAUVAISE INFORMATION , TF1 EST UN PILIER DANS CE DOMAINE , ET A ECOUTER CHAZAL QUI FAIT LA PROMO DE HALLYDAY OU DE FERRARI C4EST DU QUIF QUIF AU MEME ? TOUS DES SAL....RS///MB

Et oui CHARBONNIER,j'étais à Oran le 5 juillet 1962 ,au moins 3OOO "enlevés" rien que dans cette ville,soit comme tu le dis si bien ,17849 jours,qui s'en préocupe au lieu de faire des courbettes à Boutéflika dont nous avons la preuve qu'il était bien à Oran ce jour là ! il est vrai que le sort des Pieds-Noirs n'intéresse plus personne en France,circulez,il n'y à rien à voir,il n'y a pas de disparus,juste des gens qui sont parti en vacance,c'était la version officielle du gouvernement de l'époque,vous savez un grand type avec un képi à deux étoiles.
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Para un jour,Para toujours

Retour ici sur la libération d'Hervé Ghesquière et de Stéphane Taponier, pour ne pas polluer davantage le sujet ouvert à la mémoire du caporal du 1er RCP Cyrille Hugodot, Mort pour la France

La lecture de cet extrait de l'article de JD Merchet publié dans son blog " Secret Défense " permet d'affirmer qu'à n'en pas douter, l'honnêteté dont il fait preuve ne lui vaudra pas que des amis dans la classe médiatique :

Citation :

Le traitement médiatique de la libération des otages suscite une vive émotion chez les militaires

Le traitement médiatique de la libération, mercredi, des deux journalistes retenus en otage en Afghanistan depuis dix-huit mois suscite de vives réactions dans les milieux militaires. Elles sont de deux types, qui souvent s'ajoutent l'un à l'autre. 1) La différence de traitement entre les journalistes otages et les soldats tués en Afghanistan. 2) L'imprudence supposée ou réelle des deux reporters.

1) Sur le premier point, il est incontestable que la libération d'Hervé Ghesquière et de Stéphane Taponier a donné lieu à une couverture médiatique sans commune mesure avec l'annonce de la mort de militaires français en Afghanistan. D'un côté, des heures de direct, la mise en scène télévisuelle de l'émotion des proches, les commentaires de spécialistes (dont l'auteur de ce blog...). De l'autre, une vague brève en fin de journal télévisé ou dans un bas de page des quotidiens. Qui a entendu parler de Cyrille Hugodot, mort à 24 ans au service de la France ? Qui n'a pas entendu parler de Ghesquière et Taponier ? Il est malheureusement clair, et c'est un journaliste qui l'écrit, que le poids médiatique d'un journaliste est bien supérieur à celui d'un simple parachutiste. Il n'y a pas de quoi être fier.
Les tentatives, conduites par quelques anciens, pour rendre un hommage public aux soldats morts lors du retour de leur corps en France se soldent par des échecs. Ce qui renforce le malaise.

2) De nombreux militaires ne comprennent pas l'atitude des deux journalistes de France-Télévisions en particulier les risques qu'ils ont pris sur le terrain. Hervé Ghesquière a cru bon d'expliquer, juste après son retour, que "personne ne nous a rien dit. Que ce soit clair". Ce n'est malheuresement pas aussi clair et la direction de France-Télévisions n'ignore pas qu'il existe des traces écrites des avertissements lancés par l'armée française la veille même de l'enlèvement des deux journalistes, le 30 décembre 2009. Idem sur l'existence de conversations téléphoniques assez directes entre les deux reporters et un officier français (que l'on peut difficillement qualifié d'hostile à la rédaction de France 3 pour des raisons personnelles). Tout le monde sait qu'ils ont bien été avertis du danger de se rendre dans ce secteur non sécurisé, qui plus est à la recherche de contacts avec les talibans. D'ailleurs, tous les journalistes français arrivant sur le théâtre afghan le sont systématiquement....

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Le-traitement-mediatique-de-la-liberation-des-otages-suscite-une-vive-emotion-chez-les-militaires_a307.html